Variation autour d’un muffin : muffin au nougat

J’aime bien les muffins : c’est facile à faire, ça peut servir de dessert, de goûter ou de petit-déjeuner, et à partir d’une recette de base on peut faire plein de variations. En général, je pars d’une idée et je mélange plusieurs recettes.

Opération chirurgicale :

AVANT

APRÈS :

Ingrédients : 300 gr de farine / 1 sachet de levure chimique / 100 gr de sucre en poudre / 1 pincée de sel / 25 cl de lait / 2 oeufs / 75 gr de beurre [ça c’est la base] / 200 gr de nougat [ça c’est la variation]

Four Th 6-7

-Couper 150 gr de nougat en petits morceaux, garder 50g à couper plus gros pour mettre à la fin.

-Dans un grand bol, mélanger la farine, la levure, le sucre, le sel et les morceaux de nougat (profitez-en pour les séparer avec la farine… et les doigts, c’est plus simple)

-Dans un bol, faire fondre le beurre, ajouter les 2 oeufs (battre) et le lait.

-Puis mélanger bien tous les ingrédients et verser la préparation dans les moules à muffins.

-Ajouter un plus gros morceau de nougat sur le dessus, en l’enfonçant un peu mais pas omplètement.

-Mettre au four 20-25mn en surveillant que le nougat du dessus ne brûle pas.

Sur photo ce ne sont pas des moules « à muffins » mais des moules « coeurs » qui sont moins profonds, mais l’homme qui partage mes muffins préfère les petits modèles (Hé! Il n’y a rien de sestuel là-dessous!!). Avec ces quantités, j’ai rempli 12 moules silicone « coeurs » bien remplis et 6 moules silicone « muffins » peu remplis.

Et même si c’est pas écrit dans la recette, vous pouvez lécher le bol après avoir rempli les moules..Personnellement, je ne peux pas m’en empêcher!!

Grand prix des lectrices de ELLE : SOS amitié?

A priori, être juré du Grand prix des lectrices de ELLE est une activité solitaire. On sait qu’on est 120, mais on ne sait rien les unes sur les autres, même au sein de son « jury du mois ». On est sensé lire toute seule dans son coin. Peut-être qu’on nous rassemblera à un moment mais à ce jour, rien n’est annoncé officiellement.

Mais bon, la nature a horreur du vide, et visiblement, les lectrices du Prix de ELLE ont horreur de l’isolement…En effet, par le biais d’un commentaire laissé chez Carnets de Lectures (où j’avais découvert ce fameux prix), Amanda m’a envoyé un mail et nous avons commencé à communiquer par mails.

Puis au hasard de mes recherches sur Gougeule, j’ai débusqué Renée et nous discutons maintenant aussi par mails.

Depuis, nous sommes plusieurs à communiquer par mails ou commentaires laissés sur les blogs de Clochette, Emmyne, Annie, Anna Blume, et Antigone. Et ce qui est vraiment très intéressant, c’est que personne ne semble avoir les mêmes avis sur les livres lus…On ne s’influence pas, au contraire, on échange, on compare, on voit les choses différemment! J’adore!

Alors, entre Miss Orchidée, ma « copine de la vraie vie » et toutes mes nouvelles « copines virtuelles » je ne sais pas qui est le plus responsable de ma présence dans la blogosphère!

La princesse des glaces (Tome 1) : Camilla Läckberg

« La princesse des glaces » est un roman policier assez classique qui commence avec un faux suicide et qui se poursuit avec la découverte de secrets qui sont dévoilés au fil de l’enquête officielle et de la curiosité d’Erika Falks. Cette dernière est une sorte de détective amateur impliquée malgré elle dans l’affaire puisqu’elle est l’une des premières à découvrir le corps de la victime, une ancienne amie d’enfance.
Rythmée, pleine de rebondissements, la trame de l’histoire tient en haleine, même si elle n’est pas extrêmement originale : une victime qui cachait beaucoup de chose à son entourage et des secrets de famille qui vont se révéler petit à petit. L’originalité tient plus à l’ambiance un peu étouffante d’une petite ville de bord de mer en Suède, où tout le monde se connaît et est plus ou moins lié.
Erika Falks est un personnage rafraîchissant dans un roman policier : une sorte de Bridget Jones assez futée, qui manque un peu de confiance en elle, s’inquiète de son poids et de ses amours, qui est en plein deuil de ses parents et doit aussi gérer des relations compliquées avec sa sœur…une jeune femme normale en somme !
J’ai bien apprécié ce roman policier enlevé et divertissant qu’il me tardait de retrouver, à la fois pour connaître le fin mot de l’histoire (même s’il serait faux de dire qu’on ne se doute pas du dénouement assez vite dans le roman) mais aussi pour y retrouver les personnages. Peut-être quelques maladresses de traductions, j’avais parfois l’impression qu’il avait été traduit de l’anglais…