Petit voyage aux « Etats-Unis »…

…les États-Unis de Lyon…

Pendant le week-end de Pâques, nous avons passé quelques jours chez ma très chère et vieille amie depuis 20 ans : Bulise la fantômette!

Comme d’habitude, ces vacances ont été gastronomiques (ben oui, on est à Lyon, le taux de restaurants au mètre carré est quand même impressionnant!), culturelles (on en profite pour faire des visites d’expo, on a même visité un cimetière!), sportives (je me suis remise à la piscine!), commerciales (aaahhh…faire du shopping avec elle c’est tellement bien!) et surtout on a beaucoup parlé et rigolé!

Bref..Qu’en est-il des États-Unis??

Et bien, nous n’avions pas besoin de notre passeport pour aller là-bas, nous nous sommes juste promenés dans le Quartier des États-Unis à Lyon (mouarf, mouarf, mouarf…je vous ai bien eu!!)

Là bas, outre le fait que ça va très bientôt devenir notre quartier de prédilection quand nous serons en visite à Lyon, on y trouve le Musée Urbain Tony Garnier et les murs d’immeubles peints. (Tony Garnier était un architecte visionnaire et utopiste… Je vous épargne toutes les bonnes blagues qu’on a fait sur le shampoing Garnier et sur le DJ Laurent Garnier… Hors contexte elles ne vous feraient peut-être pas autant rire que nous…)

Cherchez l’intrus sur cette photo…

Alors, après cette balade dans le musée en plein air, restons dans l’esprit musée + États-Unis : voici une photo « à la Andy Warohl » faite par Bulise la fantômette!

Pour voir Lyon sous ses aspects les plus décallés, je vous suggère les photos de ma copine sur son blog!

Curiosité bloguesque : l’envers du décors

7 mois de blog : On ne s’arrête pas en si bon chemin!

« Enna lit » = « SOS amitié » ?? Je pose à nouveau la question  :

« Poème pour ma copine qui part en voyage » (Il vaut chercher des rimes qui vont avec « copine » et « voyage »…)

« Ma copine en maillot » (Elle serait pas partie en voyage ta copine par hasard?)

« Le clebe de amitié des gents age » (Ouill.. le grand âge n’empêche pas d’avoir des amis mais par contre ça fait des ravages sur l’orthographe 😉

« Enna lit » = « La foire aux questions » ?? Posez toujours, je ne pense pas répondre à toutes vos questions :

« C’est quoi? » (Je ne sais pas…)

« Comment vit-on avec un ange » (Heu…la question ne serait-elle pas plus tôt « est-ce que j’ai toute ma tête si je crois que je vis avec un ange??)

« Que cherche-t-on quand on emménage » (Ben si c’est une question philosophique, je dirais « Se sentir bien chez soi », si c’est une question purement pratique, je dirais « Tout » comme dans : « Où est ce machin de m..de, j’étais sure qu’il était dans CE carton!!! »)

« Pourquoi autant de magasins à Istanbul » (C’est vrai quoi, pourquoi autant de tentations!)

« Questionnaire sur les muscles » (Je peux pas vous aider, j’en ai pas beaucoup…de muscles!)

« Comment vit le saumon? » et « Où vit le saumon? » (A noter que les deux requêtes étaient à plusieurs semaines d’intervalle…Il y a quelqu’un qui fait un mémoire sur le saumon! Mais moi sur le saumon, je ne peux répondre qu’à la question « Comment mange-t-on le saumon? »)

« Que dis un chat quand il se fait poursuivre par un chien? » (Ça dépend, soit il parle super bien et il dit « Arrêtez de me harceler ou j’engage une procédure judiciaire contre vous, j’appelle mon avocat! » ou alors il est un peu plus nul et il dit « Miiiiiiaaaaaoooouuuuu!!!! »)

Quand on lit plusieurs requêtes « google » à la suite on a parfois l’impression que les gens croient qu’ils peuvent s’adresser des messages comme ça… Des conversations secrètes :

« J’espère que tu pourras venir » (Nous aussi on espère)

« Je ferai attention » (A quoi?)

« Tu n’es pas réfléchi » (Tu es trop emporté, je ne suis pas sure que tu arrives à faire attention!)

« Je suis d’accord avec toi mais tout est relatif » (Oui, par rapport à quelqu’un d’encore moins réfléchi que moi, je suis plutôt raisonnable!)

« Merci je vais suivre vos conseils et je vous tiens au courant » (C’est ça, tiens nous au courant car c’est passionnant!)

Du coup les gens croient aussi que sur « google », ils peuvent raconter leur vie :

« Mon ordinateur est à l’envers » (Pas facile pour lire l’écran!)

« Je reviens de Russie » (On est content pour toi!)

« Carte avec les pays que j’ai visité » (Ben, tu peux déjà noter « Russie »)

« Liste de ce que j’aime » (J’espère pour toi qu’elle est longue!)

« J’ai un chef de gang » (Y a pas de quoi se vanter, c’est pas toi le chef!)

« Je fais mes gâteaux moi-même » (Moi aussi!)

Ça dérape parfois même en « Confessions intimes »:

« J’ai pêché par action » (Au moins tu nous épargnes les détails sordides!)

« J’ai envie d’une inconnue » (C’est reparti pour les vicieux!)

« Espionner des gens dans un lit » (Cochon!)

« Ma voisine est bonne au lit » (C’est super galant d’aller crier ça sur internet!)

« Je me glisse dans le lit de ma belle-soeur » et « J’ai couché avec mon gendre 26 ans visiteur médical » (Ça suffit les cochonneries en famille, c’est un blog respectable ici messieurs-dames!)

Heureusement il y a aussi des mots doux :

« Voir enna de tout mon coeur » (Alors même si c’est la ville italienne, après toutes ces bêtises, je vais prendre ça pour moi…Je suis toute émue 😉

Comme quoi, sur internet, on ne cherche pas toujours ce qu’on trouve!!

Un cadal, des cadeaux ou Quand internet n’est pas si virtuel que ça…

Hier j’ai reçu un paquet à la maison

Non, ce n’était pas un des livres que j’ai commandé pour un de mes swaps en cours.

Non, ce n’était pas un des mes fameux swaps en cours (heureusement car aucun des mes colis n’est prêt!)

Non, c’était un petit cadeau « juste comme ça » d’une blogueuse adorable avec qui je discute par commentaires entre nos deux blogs, par mails (parfois presque en messagerie instantanée quand on est toutes les deux « sensées » travailler devant l’ordi…) et par swaps organisés par elle-même (je fais un peu celle qui a été « obligée » d’y participer mais en fait je suis ravie 😉 et avec qui je m’entends bien et que j’espère voir cet été au bord de la mer (froide mais très bleue) de chez nous (avec Orchidée et Sylvie-Saraswati mes compatriotes)…

Admirez plutôt :

Une adorable carte

un livre (que je voulais lire)

et une tablette de chocolat(pour moi et le petit colis « dans la boite aux lettres » (j’aime beaucoup l’expression 😉

Un vrai colis doudou pour lequel je te remercie encore mille fois Bookomaton

Tu as fait de ce mercredi midi un petit moment magique où je me suis vraiment dit qu’internet n’était pas si virtuel que ça!

L’annonce faite aux grands-parents

Nous avons attendu le « feu vert » des trois mois et profité d’un week end où nous avions des anniversaires à fêter dans les deux familles (le samedi dans la famille de L’Homme-Qui-Va-Être-Papa et le dimanche dans ma famille) pour annoncer la Grande Nouvelle à nos parents…les grands-parents!

Nous avions un plan machiavélique (mais sympatique!) …

Nous avons emballé un yaourt

pour une grand-mère

et des barres de céréales

pour l’autre grand-mère.

Étant donné que la marque « Papy » Brossard ne semble plus exister dans nos supermarchés, j’avais trouvé un jeu de sept familles dans lequel il y avait un « grand-père cycliste » (idéal pour le père de L’Homme qui adore le vélo) et un « grand-père capitaine » (idéal pour mon père navigateur). Le hasard était quand même de notre côté sur ce coup là!

Lors des deux repas, l’un de nos deux frères respectifs étant présent, nous avons aussi emballé pour chacun d’entre eux un paquet de riz !

Autant dire qu’on était content de nous, très sûr de notre coup et même un peu inquiet que l’effet de surprise soit gâché par une découverte trop rapide de la devinette…

Mais on n’aurait pas du s’inquiéter…Ça ne s’est pas tout à fait passé comme on l’avait imaginé…

Le déroulement des opérations a été pratiquement le même dans les deux familles… Ils ont ouvert leurs cadeaux tous en même temps et ils ont regardé leur cadeau…

« Ah…un cycliste… » a dit le premier grand-père avant de remettre la carte dans l’enveloppe. « Ok…du riz… » a dit le premier frère. Et la première grand-mère a regardé le yaourt sous toutes ses coutures avec un regard vraiment incrédule (on pouvait lire dans ses yeux : « Mais pourquoi m’offrent-ils un yaourt?? »)

Dans ma famille, ce n’était pas mieux. Mon frère a regardé le riz et a demandé si c’était pour son chat ou si on croyait que la crise le touchait particulièrement. Ma mère a focalisé sur le mot « framboises » au lieu du mot « Grany » et mon père a regardé sa carte en disant « Grand-père « grand large »? Mais il manque le reste de la famille! »

Bref, nous qui croyions que c’était tellement évident, ça ne l’était pas du tout!

Une mention spéciale à nos deux belles-soeurs présentes qui ont été les premières à deviner le message caché! Peut-être parce qu’elles avaient vu les trois indices ensemble…peut-être parce qu’elles sont plus malignes 😉

Mais le résultat a été le même dans les deux familles quand on a annoncé la nouvelle : tout le monde était très content!

« Une simple affaire de famille » de Rohinton Mistry

« Une simple affaire de famille » est bien une histoire de famille mais elle n’est pas si simple que ça…Ou plutôt, elle aurait pu être simple sans problèmes de religion ou d’argent.

Nous suivons l’histoire d’une famille Parsie de Bombay, ni vraiment riche, ni vraiment pauvre, qui voit sa vie bousculée par le destin. Cela commence quand Nariman, le grand-père, blessé, est envoyé chez sa fille par son beau-fils et sa belle fille avec qui il logeait jusqu’alors. La belle-fille lui en veut depuis toujours de la façon dont il a traité sa mère qu’il a été « obligé » d’épouser alors qu’il était amoureux d’une femme qui n’était pas Parsie. C’est une relation pleine de rancoeur.

Une fois installé dans l’étroit appartement de sa fille, les relations avec son gendre deviennent plus tendues car ce dernier vit très mal contraintes -humaines et matérielles– que cela entraîne. Il frôle même les limites de la malhonnêteté et finit par se tourner vers la religion.

Mais si les difficultés financières finissent par se régler, la religion entre encore en ligne de compte et la famille n’est pas plus heureuse pour autant.

Ce roman est à la fois une saga familiale d’amour et de difficultés, avec des gens qui se respectent et s’entraident, et l’histoire du poids de la religion qui pèse sur l’Inde, avec notamment  les Parsis qui doivent rester entre eux et le Shiv Sena parti religieux qui veut régenter Bombay (au point de tuer au nom de la religion). Il y a un mélange de tolérance heureuse et de fanatisme religieux.

Les personnages sont touchants et attachants, les personnages principaux, les membres de la famille, qui sont peints tout en nuances avec leurs failles et leurs qualités, mais il y a aussi toute une galerie de personnages secondaires très bien traités qui font de ce roman une fresque très vivante.

Merci à et aux éditions qui m’ont fait parvenir ce livre.

Ne t’inquiète pas pour moi (Life on the refrigerator door) : Alice Kuipers

(Je ne sais pas très bien comment classer ce roman, jeunesse ou adulte, car il fait partie de ces livres qui ont été édité sous deux couvertures différentes : version adulte et version jeunesse. J’ai trouvé le mien au rayon ados dans la librairie anglaise où je l’ai acheté.)
Ce roman est construit de façon particulière puisqu’il est constitué de petits « mots », plus ou moins longs (parfois une ligne parfois plusieurs paragraphes) laissés sur la porte du réfrigérateur par une mère et sa fille adolescente qui ne font que se croiser. (D’où le titre anglais « La vie sur la porte du réfrigérateur », bien meilleur à mon avis que la version française.)
 
La mère travaille beaucoup, la fille sort avec ses amis et fait du baby-sitting et elles ne semblent pas avoir une minute pour se parler vraiment. On suit des tranches de vie quotidienne.
 
Puis un jour tout bascule car la mère apprend qu’elle a un cancer du sein et cela devient beaucoup plus émouvant et fort car les petits mots en apparences anodins deviennent un moyen de s’exprimer quand il est trop dur de se parler en face.
 
Au début, leurs relations m’énervaient un peu (je me disais qu’il n’y en avait pas une pour rattraper l’autre, ni l’une ni l’autre ne semblant prête à prendre du temps pour l’autre) puis j’ai trouvé leur relations épistolaires très émouvantes, entre les tentatives de communiquer profondément et les petites touches de quotidien.
 
Je ne vous cache pas que j’ai pleuré à la fin!
 
Livre très court adapté autant aux adultes qu’aux ados.

Salade de fruit…jolie, jolie…

Blancs de poulet à la mangue et à la moutarde

Recette très facile ET très rapide mais qui en jette un peu 😉

Opération chirurgicale :

AVANT :

APRÈS :

Ingrédients : (Pour 4 personnes)

3 blancs de poulet (voir moins si les morceaux sont gros) / 1 mangue (bien mure ou surgelée) / un peu de farine / 2 cuillères à soupe de moutarde forte / sel, poivre / coriandre hachée

> Mixer la mangue (fraîche et mure ou surgelée mais décongelée) avec la moutarde avec un robot.

> Couper le poulet en petits morceaux, rouler dans la farine et faire cuire quelques minutes dans la poêle avec de l’huile (en gros, jusqu’à ce que le poulet soit cuit!), saler et poivrer.

> Ajouter la sauce à la mangue et à la moutarde au poulet et faire revenir quelques minutes.

> Saupoudrer de coriandre hachée et servir avec du riz (pour faire plus classe vous pouvez utiliser du riz sauvage!)

Faaaaaciiiiile!!!!!

Cette recette est adaptée (et à mon avis améliorée) du dernier livre de Jean-Pierre Coffe :

« Le Petit Prince » de Joann Sfar

J’ai toujours adoré l’histoire du « Petit Prince » de Saint-Exupéry

Non seulement je l’ai lu à l’école primaire mais à l’atelier théâtre en CM2 j’ai aussi joué le rôle de Saint-Exupéry dans une pièce adaptée du roman!

J’ai d’ailleurs toujours chez moi mon livre de l’époque (tout abimé, avec les passages que je devais apprendre soulignés!) et je l’ai relu l’année dernière.

Quand j’ai découvert chez Orchidée (Merci beaucoup pour le prêt!!) que Joann Sfar (dont j’ai adoré le carnet de dessins « Ukulélé ») avait adapté cette histoire en bande dessinée, j’ai tout de suite été intéressée.

C’est une réussite! Le texte est là, plein de poésie et de vérité, avec ses phrases si belles sur l’amitié (quand le renard demande au Petit Prince de l’apprivoiser) ou sur le fait « qu’on ne voit bien qu’avec le coeur. »

Le dessin, très beau, tout en mouvement et en couleurs magiques rend cette histoire vivante et intemporelle.

« Le Petit Prince » fait partie pour moi des livres à lire absolument, que ce soit le roman ou la bande dessinée!

Roaarrr Challenge

« Le cri » de Laurent Graff

C’est l’histoire d’un homme qui travaille dans une cabine de péage sur l’autoroute. Il semble vivre dans une sorte de monde parallèle, un monde en suspend : l’autoroute sur laquelle il travaille est si peu fréquentée qu’il est le seul employé du péage.

Il y fait des rencontres insolites. Il se lie d’amitié avec un gendarme qui n’a pas beaucoup de travail non plus et qui se met à ressembler de plus en plus à un chanteur de variété. Une femme va à l’hôpital tous les jours pour tenir compagnie à son mari et son amant dans le coma après un accident fortuit les impliquant tous les deux. Un couple de jeunes campeurs s’installe un temps sur le bas côté de l’autoroute. Et bien d’autres.

Il y a aussi de nombreux micro événements presque surréalistes qui entourent cette homme.

Et surtout, il est accompagné du tableau « Le Cri » de Edvard Munch qui vient d’être volé et qu’il a retrouvé dans une voiture abandonnée. Et e monde semble subir un cri permanent depuis ce jour.

Je me suis un peu demandée où il voulait en venir avec cet univers loufoque et décalé, jusqu’à la fin du livre où tout devient limpide. On comprend que c’est plus un rêve dramatique, comme un état de choc, un cri silencieux.

La chute fait de ce petit roman une belle découverte.

Merci à L’Homme-Qui-M’offre-Des-Livres pour ce cadeau inattendu!

Et puisque « le cri » est presque un personnage du roman :

« Le film va faire un malheur » de Georges Flipo

Ce livre m’a été prêté par l’auteur en personne après un échange de mails. Georges Flipo m’a prévenu dans ce courrier que son roman recevait des avis enthousiastes et d’autres moins et qu’il n’attendait de moi que mon avis personnel. j’ai donc accepté cet « échange de bons procédés » en lui promettant un avis subjectif 😉 Je dois avouer que c’est la première fois que je lis un roman « pour » son auteur et j’avais très peur de détester… Ce qui ne fut pas le cas (Ouf…)

Alexis, un cinéaste assez imbu de lui-même rencontre un jour Sammy, un truand qui veut tellement qu’Alexis fasse un film sur sa vie qu’il est prêt à changer sa façon d’être et même de rendre ses actions criminelles plus « cinématographiques ».

Alexis qui est plutôt cynique et qui traverse la vie sans vraiment se soucier de ceux qui l’entourent -sa compagne inclue- finit par se fourvoyer dans la publicité qui ne lui correspond pas, passer le projet de Sammy à un scénariste tout en essayant de jouer le mentor intellectuel du truand se croyant supérieur à tout le monde.

J’ai bien aimé ce roman qui contient une bonne dose d’humour noir et même aussi de l’humour « pas noir »… Une vraie relation se tisse entre Alexis, le cinéaste égocentrique et Sammy le truand qui veut sincèrement que sa vie fasse un film même si pour cela il faut qu’il ne soit plus tout à fait lui-même. Par contre le personnage de Clara m’a un peu exaspérée…

Alexis est un anti-héros, c’est à dire qu’il est assez imbuvable et qu’il est aussi celui qui vit à contre courant de ses propres envies : il pourrait être un bon cinéaste, un intellectuel intéressant et un homme heureux avec une femme et un ami sincère mais il gâche tout pour du facile et du clinquant.

Ce roman est aussi une peinture du monde du cinéma et de la publicitéLe monde de l’apparence à plus d’un titre!

Le blog de Georges Flipo recense d’autres avis sur « Le film va faire un malheur ». Merci à lui pour le prêt du roman.