Tarte aux prunes et à l’amande

J’ai fait cette recette fin août mais j’ai vérifié : la saison des prunes va jusqu’au mois d’octobre et puis, il y a aussi les prunes surgelées… (je connais une bonne copine qui en peut-être mis plein au congélateur après une cueillette au jardin cet été 😉

Je dois vous avouer que je suis assez fière de moi car cette recette a été tentée une première fois à partir d’un livre (avec des abricots) mais comme je n’étais pas contente du résultat, j’ai adapté à mon goût (avec des prunes parce que je n’avais que ça sous la main) et je l’ai encore refaite après avec les prunes du jardin de ma copine (merci 😉 et elle a été validée par mes goûteurs!

Ingrédients (pour 6 personnes) : 1 pâte sablée / 20 prunes (ou 15 abricots) / 80 gr de beurre / 150 gr de sucre / 1 sachet de sucre vanillé / du sucre roux / 150 gr d’amandes en poudre / 2 jaunes d’œufs

> Préchauffer le four Th 6-7

> Mettre 150gr de sucre dans 10cl d’eau dans une casserole.

>Laver et couper en deux les prunes (enlever les noyaux of course!) et les faire revenir dans le sirop (5mn quand ça frémit)

> Les égoutter

> Ramollir le beurre

> Mélanger le beurre, les jaunes d’œufs, le sucre vanillé et l’amande en poudre

> Mettre la pâte à tarde dans un moule et tapisser le fond de la préparation à l’amande

> Disposer les prunes sur la tarte

> Saupoudrer la tarte de sucre roux

> Faire cuire 25mn (surveiller que les bords ne brulent pas)

Pour la présentation, j’ai juste saupoudré de sucre glace. Nous l’avons mangée froide.

Bon appétit!

Parmigiana bianca ou comment manger des aubergines…

… d’ailleurs j’ai fait cette recette à mes parents et mon père qui dit ne pas aimer les aubergines a bien apprécié…

Ingrédients (pour 6 personnes) : 3 grosses aubergines / 10 C à Soupe de chapelure / 250 gr de mozzarella (j’ai pris 2 sachets) / 250 gr ricotta / 1 sachet de parmesan râpé (ou si vous êtes mieux organisés que moi, du parmesan frais…) / 1 petit bouquet de persil plat / du thym / 1 gousse d’ail (ou de l’ail surgelé…Appelez moi « miss pratique ») / 3 œufs / sel, poivre et beaucoup d’huile d’olive!

> Préchauffer le four Th 4

Dans cette recette, il faut préparer tous les ingrédients, puis tout assembler à la fin :

> Laver les aubergines et les couper en rondelles pas trop fines, pas trop épaisses (sacré conseil,  n’est-cepas?!) sans les éplucher.

> Disposez les rondelles d’aubergine sur la plaque du four recouverte d’une feuille de cuisson (papier sulfurisé par exemple). Elles peuvent se chevaucher, ça n’est pas grave. Badigeonner d’huile d’olive. Faire cuire 45 mn en les retournant grossièrement à mi-cuisson.

>Dans une poêle, faire revenir la chapelure avec de l’huile d’olive, l’ail haché et du thym à feu vif tout en remuant jusqu’à ce que l’ensemble soit doré. Ajouter le persil ciselé. Mettre de côté.

> Couper la mozzarella en tranches fines et mettre de côté.

> Battre les œufs

> Quand les aubergines sont prêtes, mettre le four Th 6-7

> Badigeonner d’huile d’olive un plat au four

>Tapisser le fond d’aubergines (il y aura 3 couches… Pensez-y!)

> Saupoudrer de chapelure (vous aurez besoin de le faire 3 fois)

>Répartir la moitié de la mozzarella et la moitié de la ricotta dans le plat

> Saupoudrer de parmesan

> Verser de l’œuf battu (vous aurez besoin de le faire 3 fois)

> Recommencer exactement de la même manière 1 fois et finir par une 3ème couche d’aubergines, de chapelure et d’œuf

> Enfourner 15-20 mn

C’est facile à faire, c’est très bon, les aubergines sont moelleuses et crémeuses : à tenter!

J’ai oublié de faire une photo juste à la sortie du four mais voici un petit coin du plat rescapé du repas :

 

Des titres et un texte! Rendez-vous du mois de septembre

Je reprends mon rendez-vous mensuel (le 2 du mois) : Il s’agit écrire un texte en intégrant tous les titres des livres chroniqués sur mon blog le mois précédant (ou le votre si vous souhaitez jouer avec moi). L’idée vient de Gwenaëlle qui a plein de jeux d’écriture à vous proposer!

Voici ma liste de titres :

Les soldats qui ne voulaient plus se faire la guerre

Soldat Peaceful

Paul au parc

Intrus à l’Etrange

Instruments des ténèbres

Je ne pense qu’à ça

Madame Gargouille

Coney Island baby

Jeanine

Dans l’or du temps

Cinq heures pour le sauver

Elmer

TMLP (Ta mère la pute)

Une odeur de gingembre

Et voici mon texte  :

« Est-ce que j’ai quelque chose à déclarer? Oui!

Moi, Soldat Peaceful, je déclare avoir décidé de suivre les soldats qui ne voulaient plus se faire la guerre en toute connaissance de cause.

Il faut que vous sachiez que comme beaucoup, j’en ai assez de cette guerre. Je ne veux pas mourir et je ne pense qu’à ça!

Très vite, au fond des tranchées, je me suis senti comme un intrus à l’étrange nouvelle vie que mon pays me proposait… Je n’étais plus qu’un des instruments des ténèbres prévus pour tuer mes voisins…

Le pire a été quand j’ai réalisé que si un pauvre gars se retrouvait coincé dans le no man’s land, on avait que cinq heures pour le sauver avant le lever du jour… Et quand ce gars-la s’est avéré être moi, j’ai revu ma vie passer devant mes yeux…

J’ai eu l’impression de plonger dans l’or du temps : j’ai revu Madame Gargouille, ma nourrice, Elmer, mon vieil ours en peluche, mon frère Paul au parc, Jeanine, ma première petite amie, si belle qu’elle avait gagné la première place au concours de « Coney Island baby« . J’ai revécu le jour je me suis battu avec Jake parce qu’il avait écrit « TMLP (Ta mère la pute) » sur la porte des toilettes du dinner… Mais surtout, j’ai senti une odeur de gingembre qui m’a rappelé ma grand-mère…

C’est à ce moment-là que j’ai décidé que si je m’en sortais, je n’allais plus jamais me retrouver comme un rat dans la boue… J’arrêterai cette guerre, je ne me battrai plus… Même si ça voulait dire mourir devant un peloton… mais digne!

Je n’ai rien à ajouter… Vous pouvez tirer! »

 

Vous trouverez tous mes textes dans la rubrique « des titres et des textes »

 

Vive les bêtises a joué en novembre , en décembre, en février , en mars, en avril, en mai , en juillet, en août, en  septembre

 

Véronique a joué dans les commentaires du mois de janvier, dans les commentaires du mois de février, dans les commentaires du mois de mars, dans les commentaires du mois d’avril, dans les commentaires du mois de mai, dans les commentaires du mois de juin, dans les commentaires du mois de juillet, dans les commentaires du mois d’août, dans les commentaires du mois de septembre

Dans l’or du temps : Claudie Gallay

Cette histoire est celle d’une rencontre improbable entre un homme, encore jeune, père de famille qui passe ses vacances avec sa femme et ses jumelles dans une maison de vacances en Haute Normandie et une vieille femme un peu solitaire qui vit dans sa maison de famille avec sa sœur. Il est très silencieux, elle parle beaucoup mais est quelque peu « braque ».
 
Ils n’ont rien à faire ensemble, ne semblent même pas toujours s’apprécier mais il délaisse de plus en plus sa famille pour passer du temps avec cette femme qui par bribes, entre deux silences, lui raconte l’histoire qu’elle a vécu en 1945 en tant que jeune fille avec son père, photographe, auprès des indiens Hopis. A cette occasion, elle a aussi connu André Breton et c’est l’occasion de raconter l’histoire de ce peuple et de Breton.
 
Il y a donc deux histoires : celle très romanesque de ce passé passionnant et la vie très ordinaire du narrateur qui ne sait pas ce qu’il veut de sa vie avec sa femme. Tout ce qu’il sait c’est qu’il ressent le besoin de parler avec cette femme.
 
C’est un roman très riche, plein de non-dits. Une relation humaine très forte se lie entre les deux personnages et c’est une belle histoire entre ordinaire et extraordinaire.
 
J’aime toujours autant le style de Claudie Gallay.
 
P 159 : « Un lien secret relie les hommes entre eux. Et puis les hommes avec tout ce qui les entoure, les pierres, les arbres. Breton sait qu’il existe un lien entre cette pensée et la sienne. Et ce sentiment très fort qui lui fera dire dire : « Je trouve ici, enfin, la preuve de la communication possible entre l’homme et la nature. »
 
Petite anecdote… Je me demande si c’est délibéré ou le hasard, mais j’ai remarqué que dans « Seule Venise », « L’amour est une île » et « Dans l’or du temps » il y a la phrase « Il fait non avec la tête » ou « Il fait oui avec la tête »… Je ne me souviens pas pour « Les déferlantes » mais je sais que je chercherai dans ma prochaine lecture 😉
 J’inscris ce roman dans le  challenge Romans sous Influence de George et Sharon .

Le titre « Dans l’or du temps » fait référence à une phrase d’André Breton, tirée de son manifeste du surréalisme et qui est aussi devenue son épitaphe : « Je cherche l’or du temps ». Cette phrase est citée p 53 : « Il a fait graver une épitaphe sur sa tombe : Je cherche l’or du temps. C’est beau vous ne trouvez pas?

-De qui parlez-vous?

-De Breton pardi! »

André Breton est un des « personnages » de l’histoire racontée par la vieille femme. Il y a même un chapitre qui lui est consacré dans le roman. Et le sens de cette phrase pourrait être interprétée comme la recherche de l’essence de la vie et nos deux personnages semblent chercher également un sens profond à leurs vies.

Cette lecture est mon livre « couleur » pour le Petit Bac 2012

« Le viandier de Polpette -L’ail des ours » de Olivier Milhaud et Julien Neel

Polpette est cuisinier, proche de la nature, homme de peu de mots et après avoir cherché sa voie, il arrive au « Coq Vert », la propriété du Comte Fausto de Scaramouche, un original. Les habitants de ce domaine sont des personnages hauts en couleur, avec chacun leur personnalité.

Le père de Fausto, souverain tout puissant qui a toujours beaucoup impressionné son fils et qu’il n’a pas vu depuis que ce dernier a été envoyé au « Coq Vert » loin du royaume, arrive à l’improviste et cela chamboule l’équilibre du lieuDes cousins qui accompagnent le père de Fausto cherchent également à changer le cours des choses

Cette histoire qui se situe dans un lieu et un temps indéterminé est rafraichissante et drôle. Les dessins sont agréables et colorés et les personnages sont attachants. L’histoire de cet album a une vraie fin mais il y a une suite que je lirai avec plaisir.

Petit plus : des recettes de cuisine illustrées viennent entrecouper le récit et il y a beaucoup de petits clins d’œil, des apartés

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette bande dessinée!

 

                                                                        Roaarrr Challenge

Cette BD est ma 2ème lecture « animal » de ma catégorie « Petit Bac BD » pour le 

« Parfum de lilas » de Samuel Leblanc

Autant le dire tout de suite, je n’ai pas été emballée par cette BD . Ou plutôt, je l’ai appréciée quand je l’ai lue mais je me suis dépêchée d’écrire mon billet de peur de l’oublier si vite que je n’aurai rien eu à dire…

C’est l’histoire d’un adolescent qui passe l’été chez sa tante, veuve et solitaire, pour s’occuper de son jardin. Il rencontre Jessica, une jeune fille de son âge, un peu fleur bleue et ils sortent ensemble. La voisine de sa tante, une femme mûre, s’offre à lui et il couche avec elle presque malgré lui mais est très mal à l’aise après vis à vis de Jessica… ce qui gâche la fin de ses vacances… Et voilà

Je reproche à cette BD de ne faire qu’effleurer tous les thèmes abordés : la solitude de la tante, les relations garçons filles adolescents qui n’attendent pas la même chose, la relation entre le garçon et la voisine… Je m’attendais que ce soit plus développé… en vain…et je suis donc vraiment restée sur ma faim.

Les dessins en noir et blanc sont agréables mais par contre, j’ai trouvé l’écriture des bulles très irrégulière, un peu brouillon et cela m’a gênée.

Bref… à moins que vous ne l’ayez déjà dans votre PAL, je ne vous la recommande pas vraiment 😉

 

                               

L’auteur est québécois ce qui me permet de participer au challenge de Karine 🙂

 Cette BD est ma 2ème lecture « végétal » de ma catégorie « Petit Bac BD » pour le 

« La joueuse de go » de Shan Sa

J’avais déjà lu ce roman mais à une période de ma vie où je crois que que mon esprit était trop accaparé par ailleurs pour « imprimer » vraiment ce que je lisais.. C’était donc une relecture-découverte et j’ai pris beaucoup de plaisir à vraiment lire ce roman cette fois!

Deux narrateurs s’alternent : un officier japonais et une jeune chinoise. Lui est envoyé en Manchourie, territoire appartenant au Japon au sein de la Chine pour déjouer des attaques terroristes. Il est le parfait soldat Japonais prêt à mourir pour son pays et pour l’honneur, froid et dur. Elle est une lycéenne chinoise de bonne famille qui vit en Manchourie et qui a la passion du jeu de go qu’elle joue sur la place des Mille vents. Elle cherche sa place dans sa vie rangée et fait la rencontre de deux étudiants chinois qui la change beaucoup.

Leurs vies sont d’abord racontées en parallèle -les combats, l’honneur, et la famille pour l’un. L’ennui qu’elle ressent à l’école et dans sa vie figée, les rencontres amicales et amoureuses pour elle. Puis, ils finissent par se croiser -par hasard- autour d’une partie de go qui se prolonge et leurs destins sont liés.

Ce qui est passionnant dans cette histoire c’est l’évolution des personnages -ils sont plein de certitudes puis changent, murissent, se modifient au fil des rencontres et des événements.

C’est aussi un portrait des années 30 en Asie : la Chine entre traditions et modernité à l’occidentale et l’image du Japon combattant et dominateur.

Le style est très beau, presque poétique tout en étant sobre. Une très belle lecture!

 

Ce roman est ma lecture « Sport/Loisir » de ma catégorie « Petit Bac Goncourt des lycéens » pour le 

    2001                                                                          

4ème lecture pour

« La malédiction des petites racailles » de Eric Simard

Gaël est très vexé d’être envoyé chez sa grand-mère au fin fond de la Bretagne pendant que ses parents vont à Tahiti. Mais une fois là-bas, il est bien obligé, malgré ses réticences, de croire aux légendes celtes, à un monde surnaturel où les Korrigans effrayent les villageois pour qu’ils leur rendent leur menhir.

Après une première rencontre effrayante avec les petits lutins des landes, pas si méchants que ça, Gaël, sa grand-mère et un ami de la famille font plus ample connaissance avec ces êtres magiques.

Grâce à eux, ils apprennent à découvrir et préserver la nature, à plus l’écouter.

C’est une histoire sur les légendes de la Bretagne mais aussi sur l’écoute et la tolérance, et aussi l’écologie avec une évocation des OGM.

Un moment agréable de lecture pour les 10-13 ans.

 

                                                  

Ce roman est ma 2ème lecture « Gros mot » de ma catégorie « Petit Bac Jeunesse » pour le  

« Le souffle de la pierre d’Irlande -Tome 1 Le feu » de Eric Simard

William est à moitié irlandais par son père. Ce dernier est mort quelques mois auparavant en Irlande alors qu’il faisait des recherches archéologiques, son corps n’a jamais été retrouvé. La mère de William décide de partir en Irlande avec lui pour poursuivre les recherches que faisait John, son mari, car elle a trouvé un vieux manuscrit qui une fois traduit du gaélique permettra de trouver une tombe ancienne et mystérieuse. Elle est aidée par George, un ami de John.

William commence le collège et tombe sous le charme de Fiona une élève de sa classe, aveugle et très étrange. Ils deviennent amis et grâce à elle, il découvrira beaucoup de choses sur l’Irlande avec tous les aspects surnaturels qu’il croyait n’appartenir qu’aux légendes.

Ce roman commence comme un roman contemporain d’un adolescent qui doit apprendre à vivre sans son père et qui découvre un autre pays et une amitié amoureuse mais se transforme en roman fantastique. Moi qui ne suis pas une grande adepte de ce genre, j’ai pourtant trouvé cela très bien amené et j’ai vraiment accroché. Il faut dire que William n’est pas prêt tout de suite à accepter toutes les choses étranges qui l’entourent.

J’ai aussi beaucoup apprécié que le style ne soit pas faussement « jeune ». C’est un français littéraire, accessible mais correcte, avec du passé simple et je trouve ça vraiment agréable de voir un auteur qui croit en ses lecteurs : oui, ce n’est pas parce qu’ils n’utilisent pas le passé simple au quotidien qu’ils ne le comprennent pas!

Il y a une suite que je ne lirai sans doute pas car je ne suis pas très « série » mais je pense que les lecteurs de 11-14 ans apprécieront beaucoup!

 

                                                  

Ce roman est ma lecture « Lieu » de ma catégorie « Petit Bac Jeunesse » pour le 

Ce mois-ci : j’ai aimé… je n’ai pas aimé…

 

Pour le rendez-vous mensuel du blog, cette année, j’ai transformé le  de Miss Alfie (avec son accord)…

Vous aurez peut-être remarqué que je n’ai pas tenu ce rendez-vous au mois de juillet … Je vais vous dire ce que j’ai aimé ou pas entre le 8 juillet et le 8 septembre 2012.

Peut-être que j’éprouve une petite lassitude pour ce rendez-vous… ce qui tombe bien puisque le mois prochain, à l’occasion de l’anniversaire du blog, je vous proposerai un nouveau rendez-vous mensuel, c’est donc le dernier

 

Alors en vrac :

J’ai partir en vacances au Portugal en famille, j’aioser partir comme on le faisait à deux et voir que ça se passait bien mais je n’ai la fièvre et la gingivite de Bastien qui lui faisait saigner les gencives (grosse angoisse, le sang qui coule de la bouche d’un petit garçon qui rigole pourtant!), heureusement, c’était la fin du voyage!

J’ai que Bastien soit complètement propre mais je n’ai que ça veuille dire qu’il se réveille et ME réveille toutes les nuits vers 3h30 pour faire pipi (malgré la couche qu’on lui a laissé!)… la configuration de notre maison biscornue fait qu’il ne peut pas aller aux toilettes tout seul…

J’ai lire beaucoup pendant les vacances… Je suis même venue à bout de ma PAL des vacancesJe  lire à 2 à l’heure depuis la rentrée!!

J’ai revoir plein d’amis!

J’ai me remettre à courir 1 heure  2 à 3 fois par semaine au retour du Portugal. Je n’ai    que ce soit plus doucement qu’avant le marathon mais j’aivoir que je pouvais progresser!

J’ai m’offrir un téléphone  de geek… mais je n’ai me sentir absolument has been quand il s’agissait de s’en servir! (Au début, je ne savais même pas « décrocher »!! Merci ma Best pour la hotline!!

J’ai avoir une nouvelle coupe de cheveux et que beaucoup de gens me disent que ça m’allait (et que ça me rajeunissait!)

J’ai la rentrée… Je suis peut-être maso, mais j’aime bien retrouver mes collègues et les élèves! Mais je n’ai  que je commence à 8h le mercredi et que du coup Bastien soit obligé de se réveiller plus tôt pour aller chez la nounou ce jour là que pour aller à l’école…surtout que la SEULE chose que j’avais demandé c’était de ne pas commencer à 8h… Je n’ai  que la photocopieuse ne marche pas avant le 3ème jour de la rentrée…super pour s’organiser… Et je  que les 4ème soit 28 et 29 avec des emplois du temps à la con… Je plains sincèrement ces pauvres gamins!

Je n’ai ne pas avoir pu déposer moi-même Bastien à l’école pour son PREMIER jour de maternelle… mais c’était peut-être mieux comme ça… je me demande si je n’aurai pas pleuré!! Je n’ai que son papa ne puisse pas l’emmener… Mais j’aique ma mère fasse la route et réorganise tous ses projets pour être là et emmener son petit fils à l’école pour la première fois. J’ai aussi que ma voisine qui est très gentille se propose de nous dépanner parce qu’elle « aimerait que quelqu’un le fasse pour sa fille »… Je me sens bien entourée!  J’ai  voir en le récupérant à la garderie que même s’il y avait eu quelques pleurs après le départ de sa grand mère, il avait bien mangé et bien dormi, les deux choses qui m’angoissaient vraiment… Par contre, je n’ai , que les jours suivants, il ne veuille pas y retourner, qu’il pleure et ne soit pas très enthousiaste… ça m’a rendue vraiment malheureuse pour mon petit bonhomme…

 Et bien, si on résume : les vacances ont été bonnes, la rentrée un peu plus compliquée 🙂 !!