Love in vain – Robert Johnson 1911-1938 : Mezzo et Jean-Michel Dupont

Je ne savais rien de cette BD mais j’avais vu passer des avis enthousiastes sur la blogo alors quand je l’ai croisé à la médiathèque, je l’ai empruntée pour me faire une idée. Et j’en suis ravie !

Cette BD raconte la vie du bluesman Robert Johnson. Même sans connaître l’homme ou le blues, cette BD est très intéressante car si c’est le portrait d’un homme c’est aussi la peinture d’une époque et des conditions de vie des Noirs Américains dans la société américaine.

C’est très noir, c’est dur et en même temps, il y a un côté exubérant et extrême.

Les dessins en noir et blanc aux fonds noirs sont très forts avec parfois des envolées foisonnantes.

A lire !

Et à écouter !

Sans faire exprès avec A Girl from Earth, on a fait une Lecture commune 😉

  chez Noukette

24 commentaires sur « Love in vain – Robert Johnson 1911-1938 : Mezzo et Jean-Michel Dupont »

    1. Oui, elle a beaucoup de force et arrive à faire un témoignage de toute une
      partie de la société américaine à travers la vie d’un homme. Une belle
      réussite!

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  1. Tes BD du jour sont très « blanc sur noir »… J’ai beaucoup aimé Love in vain, sans écrire de billet à son sujet, sauf en la mentionnant au passage avec le roman de Sherman Alexie qui parle aussi de Robert Johnson.

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    1. Oui, je les ai présentées ensemble car elles entrent toutes les deux dans
      le mois américain mais elles ont aussi ce point commun d’être en noir et
      blanc et aussi de parler des vies de personnes individuelles mais ancrées
      dans la société de cette époque. Deux histoires touchantes. Je n’ai jamais
      lu Sherman Alexie, il faudra que je remédie à ça!

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    1. je n’avais pas laissé de commentaires mais je me demande si tu ne faisais
      pas partie des tentateurs concernant cette BD je pense que c’est en
      grande partie grâce à toi que je l’ai découverte!

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  2. j’aime enormement le jazz….j’aime entendre leur bio…mais que de tristesses dans leur vie…..tout est chaos, drogue, concert sur concert, racisme et une plaie si profonde profonde…..tres peu en survive…..

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    1. Il y a vraiment une dimension humaine très forte dans cette histoire d’un
      homme. et en allant relire ton billet j’ai vu que j’avais oublié de
      vérifier s’il collait pour le Roaarrr! (d’ailleurs, je dois aussi vérifier
      avec mes derniers billets en ligne

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  3. Oh génial, wahou je suis contente; j’espère bien la trouver. Dans mon ancien blog le dernier article parle justement de Robert Leroy Jonhson mais sous forme de manga (c’est ma fille qui est passionnée de mangas). La voix est si émouvante et si évocatrice de leurs souffrances et aussi de leur espérance. Je suis curieuse de la lire, j’ai hâte.

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    1. Louise comme Louise Eléa?? je suis contente de retrouver ici!! (et je me
      rends compte que j’ai commenté ton âme graphique sans réaliser que c’était
      toi qui était revenue je suis très contente! Je te souhaite de trouver
      cette BD car elle est très forte!

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