Groenland Manhattan : Chloé Cruchaudet

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J’ai trouvé cette BD par hasard (encore !) dans le rayon jeunesse de la médiathèque alors que j’y étais avec Bastien. J’ai été attirée par le nom de l’auteur dont j’avais lu et aimé « Mauvais genre » et après l’avoir feuilletée, je savais que les dessins me plairaient.

Cette BD est tout d’abord très belle : les dessins et les couleurs sont d’une grande délicatesse et on est vraiment transportés dans le temps et dans un voyage. Et puis l’histoire et très touchante et révoltante aussi !

A la fin du 19ème  siècle, Robert Peary, un explorateur américain ramène des « spécimens » de son dernier voyage au Groenland… Cette fois, il ne s’est pas contenté de ramener des pierres mais il a des habitants, hommes, femmes et enfants…

Ils sont examinés sous toutes les coutures et deviennent une véritable attraction. Et quand ils commencent à mourir les uns après les autres, ils sont encore utiles aux anthropologues et au muséum d’histoire naturelle…

Minik, un jeune garçon se retrouve seul « rescapé » de ce déracinement. Pris en charge par le directeur du musée, il vit une vie assez intégrée, scolarisé avec son fils et faisant partie intégrante de la famille mais tout bascule quand il découvre que contrairement à ce qu’on lui a fait croire son père et les autres membres de sa tribu n’ont pas été enterré comme on le lui a fait croire mais leurs squelettes sont exposés avec divers objets dans des vitrines du musée.

A partir de ce moment, il ne sait plus où est sa place et va tout faire pour retrouver sa terre même s’il n’est plus le même que quand il est parti. Et a du mal à reprendre sa place dans sa communauté.

C’est une très belle histoire, très touchante et pleine d’humanité (dans sa présentation d’une façon inhumaine de percevoir l’autre, celui qui est différent). Et c’est d’autant plus fort que cette histoire est vraie !

Une belle découverte à tous les points de vue.

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7169085-une-collection-de-bulles-de-discours-de-style-bd-illustration                 BD de la semaine saumon   chez Stéphie

pictosingelionpetit - CopieRoaarrr Challenge

médiathèque

L’avis de Noukette

COMMENTAIRES LAISSÉS SUR CANALBLOG À L’ÉPOQUE :
  • Il me tentait, ce que tu en dis me conforte !Posté par Hélènemercredi 30 mars 2016 |
  • je te le conseille, une belle découverte tant dans les pages que dans l’histoire. Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Un « Chloé Cruchaudet » que je ne connais pas. Je jetterais volontiers un oeil. Merci Enna, Posté par jacquesmercredi 30 mars 2016
  • je n’en ai lu que 2 mais je les ai aimé alors je vais creuser un peu cette auteur  Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Excellent souvenir de lecture, curieux de l’avoir déniché au rayon jeunesse par contre…! Posté par Noukettemercredi 30 mars 2016
  • Je me posais la question : une bd que vous mettriez en adulte ou en jeunesse ? Posté par Nathaliedimanche 03 avril 2016
  • Moi qui aime beaucoup Chloé Cruchaudet, il va falloir que je me procure celle là ! Posté par Marionmercredi 30 mars 2016
  • De mon côté j’ai très envie d’en lire d’autres d’elle! Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Très tentant ! Posté par Annemercredi 30 mars 2016
  • Tu peux te laisser tenter : les dessins sont très beaux et le sujet très fort! Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • vraiment triste quand même comme histoire…mais la BD reste toute belle… Posté par rachelmercredi 30 mars 2016
  • oui, une histoire d’un autre temps mais très forte! Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Je l’ai achetée depuis quelque temps déjà. J’envisage de la chroniquer tout bientôt ! Posté par Mokamercredi 30 mars 2016
  • J’espère que tu aimeras autant que moi  Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • une merveille! j’en garde un grand souvenir! Posté par lasardinemercredi 30 mars 2016 |
  • oh oui : une merveille! Les dessins sont superbes et le sujet est poignant! Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Je vais regarder si je la trouve ! Posté par manikamercredi 30 mars 2016
  • Je garde un excellent souvenir de cette lecture. Mais globalement, je garde un excellent sentiment sur l’oeuvre de Chloé Cruchaudet. Posté par Yaneckmercredi 30 mars 2016
  • et moi je suis conquise alors aujourd’hui même j’ai emprunté les 3 tomes d’Ida de Chloé Cruchaudet  Posté par Enna, mercredi 30 mars 2016
  • Oh oui, j’avais adoré « mauvais genre » je note donc fébrilement. Et puis le thème m’intéresse drôlement. Merci Enna !  Posté par Antigone1mercredi 30 mars 2016 |
  • bonne découverte! tu verras les dessins sont très beaux! Posté par Enna, jeudi 31 mars 2016 
  • Un album que j’ai adoré et dont je recommande vraiment la lecture, en effet! Posté par sabinemercredi 30 mars 2016
  • j’ai trouvé le thème passionnant et les dessins superbes! Je viens d’emprunter « Ida » de la même auteur  Posté par Enna, jeudi 31 mars 2016 |
  • J’avais adoré. Et dire que c’est une histoire vraie… Posté par Jeromejeudi 31 mars 2016
  • ça me fait penser (dans le traitement inhumain de l’humain !) à « La vénus noire » superbe (et triste) film d’Abdellatif Kechiche (qui raconte la vie de la vénus hottentote). Posté par Nathaliedimanche 03 avril 2016 |
  • Je ne connais pas ce film, je vais me renseigner! Posté par Enna, lundi 04 avril 2016 |
  • J’ai beaucoup aimé Mauvais genre aussi, je ne savais pas qu’elle avait fait celle-ci ! Je la prendrai à coup sur si je tombe dessus ! Posté par Charlottemardi 05 avril 2016 |
  • Je te conseille celui-ci et je vient aussi de commencer « Ida » que je trouve vraiment bien, tant sur le sujet que sur les dessins! Posté par Enna, mercredi 06 avril 2016

Les madeleines d’Enna (et le tirage au sort du « Book jar » pour m’aider à choisir un livre de ma PAL ;-)

Les madeleines d’Enna (et le tirage au sort du « Book jar » pour m’aider à choisir un livre de ma PAL 😉

Depuis 2000, je note tous les titres des livres que je lis dans des petits carnets. Il n’y a aucune indication à part l’année, un numéro et les titres et les auteurs et pourtant quand je jette un coup d’œil à ces listes, certains titres évoquent immédiatement le lieu où j’étais quand j’ai lu ce livre, avec qui j’étais, ce que je ressentais à l’époque ou des pensées entraînées par cette lecture.

Pour fêter les 7 ans du blog, après les « Curiosités bloguesques », puis « Une année en couleur« ,  « Des titres et des textes » , « Ce mois-ci, j’ai aimé, je n’ai pas aimé »« Les 5 sens » « 8 photos pour 8 moments de vie » et enfin « Retour vers le futur », je vous propose un nouveau rendez-vous que j’ai appelé :

 

Tous les 8 du mois, je vous donnerai 7 titres de livres lus entre 2000 et 2014, que je les ai chroniqués ou pas, non pas pour vous parler du contenu mais pour évoquer avec vous les souvenirs qui sont liés à ces titres. De votre côté, n’hésitez pas à me parler de titres qui VOUS évoquent des souvenirs personnels dans les commentaires!

 : « Un soir au club » de Christian Gailly

 Je passais quelques jours à Paris chez des amis qui me prêtaient leur appartement et j’ai profité de mon temps là-bas pour lire ce roman trouvé chez eux. Je ne me souviens pas vraiment de l’histoire mais je revois le lieu où je l’ai lu.

 

 : « The hours » (« Les heures ») de  Michael Cunningham

Mon souvenir lié à ce roman est associé à un ami qui m’avait dit que ce roman avait été trop difficile pour lui, qu’il n’avait pas pu aller au bout car il résonnait trop en lui et à l’époque je n’avais pas compris qu’il parlait du suicide et c’est quand plusieurs années plus tard il s’est tué que j’y ai repensé… Ce souvenir ne me quitte pas 😦

 

 : « Journal » de Fabrice Neaud

J’ai dévoré ces album de témoignage en bande dessiné, ces « journaux intimes graphiques » et je ne revois pas un moment précis mais ils me rappellent une période particulière de ma vie, une renaissance pour moi et quand j’y pense que ressens les sensations de cette nouvelle vie. 

 

 : « Les grands-mères » de Doris Lessing

Je revenais de vacances et je n’avais plus rien à lire alors avant de prendre le train j’ai acheté ce roman qui est très court et je me souvient qu’un voyageur à côté de moi m’a dit en voyant le bandeau sur le livre : « Elle a eu le prix Nobel de littérature pour un livre si petit? » 😉

 

 : « L’hibiscus pourpre » de Chimamanda Ngozi Adichie

Lu pendant les vacances d’été sur le beateu de mes parents, je me revois le nez plongé dedans sans pouvoir m’arrêter!

 

  : « The blind assassin » (« Le tueur aveugle ») de Margaret Atwood

Lu pendant nos premières vacances en famille au Maroc avec Bastien qui avait 17 mois : je n’ai lu que ce roman car c’tait un pavé et que j’avais moins de temps pour lire et un petit bonhomme qui cherchait parfois à lire mon livre en même temps que moi (regardez la photo sur le billet 😉

 

 : « Une part de ciel » de Claudie Gallay

 J’ai lu ce roman en allant en vacances à La Rochelle aux vacances de la Toussaint et je me revois le lire dans la voiture et ce qui est amusant c’est que dans mon souvenir c’est l’hiver (alors que dans la réalité, non) car l’histoire se passe sous la neige!

Et vous? Avez vous un souvenir associé à un titre?

 

 Et avec ces lectures, vous prendrez bien un petit quelque chose à manger?

Pour voyager dans notre assiette,  une salade de carottes aux oranges  et un dahl aux lentilles corail et aux blettes    (Cliquez sur les photos pour les recettes)

 

 Enfin, le « Book Jar » : aidez moi à choisir la prochaine madeleine dans ma PAL  

Dans les commentaires, donnez moi un nombre entre 1 et 38… (soit au hasard soit en choisissant dans ma PAL) : je ferai le tirage au sort mercredi (toute seule ou avec l’aide de L’Homme car Bastien est en vacances chez ses grands-parents 😉

  (d’un clic sur l’image vous arrivez sur ma PAL)

Une poignée de seigle : Agatha Christie

L’histoire commence quand Mr Foretescue meurt dans son bureau après avoir bu une tasse de thé. Très vite l’inspecteur s’intéresse à la famille car le poison a dû lui être administré avant son départ pour son travail. Il y a la jeune deuxième épouse, le fils dévoué aux dents longues qui vit dans la maison avec sa femme, la jeune sœur qui est tombée amoureuse d’un homme qui ne plaisait pas à son père, une vieille tante, sœur de la première Mrs Foretescue et le personnel de maison. Il y a aussi un autre fils, qui a été rejeté quelques années auparavant et qui vivait en Afrique avec son épouse mais qui venait juste de renouer contact avec son père.

La mort de Mr Foretescue ne sera pas la seule et presque tout le monde est suspecté. Jalousie, relations familiales tendues, secrets de famille, questions financières… Tous les ingrédients sont là!

Miss Marple arrive sur les lieux par hasard et sa réputation l’ayant précédée, l’inspecteur lui fait confiance et écoute ses observations et s’intéresse notamment aux troublantes coïncidences avec une comptine pour enfants…

J’ai passé un bon moment de lecture, j’ai eu l’impression de retrouver dans une ambiance très « Downton Abbey ». On est pile poil dans l’atmosphère « so British » des romans d’Agatha Christie !

41e Agatha Christie de ma collection

« Le sculpteur » de Scott McCloud

 

Quand nous le rencontrons, David Smith est un jeune homme paumé –plus de petite amie, plus de travail- après avoir goûté quelques temps au succès en tant que sculpteur. Mais il a perdu tous ses contacts et n’a plus la cote. C’est à ce moment là que son grand-oncle vient le voir pour lui proposer un pacte : un pacte avec la mort car l’oncle est lui-même décédé. Il lui demande ce qu’il donnerait pour son art et quand David lui répond qu’il donnerait sa vie, il lui offre un don qu’il n’aura que 200 jours avant de mourir.

Le don de David est de pouvoir transformer n’importe quelle matière en sculpture, telle qu’il les imagine juste avec ses mains, comme si c’était de la glaise. Il se laisse aller à des créations folles et pourtant il n’est toujours pas reconnu. Il décide alors de faire des sculptures sauvages dans la ville la nuit et devient connu (même si cela reste secret).

En parallèle de l’art, il y a aussi ses relations avec son meilleur ami responsable d’une galerie mais qui est sous l’influence sentimentale d’un autre artiste. Et puis David tombe amoureux d’une jeune femme particulière qui le soutient dans son œuvre.

J’ai trouvé cette BD assez déprimante car malgré son don, David n’arrive pas à se faire connaître. Il traverse des injustices er il tombe évidemment amoureux au pire moment. Ce pacte n’est donc en aucun cas positif pour lui à part peut-être qu’il se libère des carcans et vit la sculpture à 100 %.

Je suis un peu mitigée sur cette lecture que j’ai plutôt bien aimé mais qui m’a un peu laissée sur ma faim … et pourtant c’est un pavé… Peut-être justement que plus de concision aurait été nécessaire ?

 

                 BD de la semaine saumon chez Stéphie

Que faisions nous le lundi 4 avril à 04h04 ET/OU à 16h04??

 

Le  04/04  nous avons été 17 à prendre 17 photos -au même moment ou presque- de ce que nous étions en train de faire  (sur une idée de Cstef du blog « Une Photo, une bidouille »!!) 

J’ai transmis ces photos à  Steff  qui en a fait cette mosaïque! Merci à elle et merci à tous les participants!

 

 

A  04h04  0 photos

Personnellement, je dormais 😉

Steff  dormait aussi 😉

 

A  16h04: 17 photos

Personnellement, je corrigeais des évaluations orales de mes élèves de 4ème.

Steff  venait de se prendre une contravention de 135 € avec immobilisation de son véhicule parce qu’un de mes pneus était usé … Grrr…

Aifelle avait fait des courses et elle rentrait chez elle par les rues piétonnes.

Nua était à la station de métro bruxelloise De Brouckère, elle attendait le métro pour rentrer chez elle. Bien sûr les attentats du 22 mars sont encore fort présents dans les esprits mais la vie continue et on reprend petit à petit ses habitudes. (Et moi, J’en profite pour embrasser tous les lecteurs Belges de ce blog!)

L’irrégulière était  en train de boire du thé avec sa maman.

Tiphanie  venait de poser ses valises à Stockholm.

Sandrion  conduisait donc elle a sagement attendu d’être arrivée et d’être garée et elle a pris une photo dans la rue menant à la maison qu’elle devait  visiter (elle a le projet d’acheter.)

Didingc était en salle des profs et elle avait fini sa journée.  Elle préparait ses affaires pour partir voir son cheval.

Wakanda  était au travail. C’était le temps d’une activité libre après le goûter en attendant que les parents des petits viennent les chercher.

Nath  n’a pas pris sa photo à 16h04 car elle était en rdv avec la RH (cela faisait désordre) et elle l’a  donc prise 10mn plus tard de retour à son bureau.

Une Ribambelle a quitté le travail à 16h et a appelé sa maman, du coup, elle n’a pu prendre la photo qu’après avoir raccroché quelques minutes plus tard
et s’être installée pour boire un coup ; il faisait beau malgré le vent et elle avait besoin de décompresser.

Mare tea ne s’inscrivait au prix ELLE 2017.

Rachel était en plein dans la réparation d’une vitre qui avait été cassée par quelqu’un qui avait lancé une pierre chez elle!

Manika  sortait du four le repas du soir pour Aloïs et sa babysitter car avec son Chéri ils partaient  à un concert.

Céline   triait les vêtements de sa fille qui passe du 1 mois au 3 mois.

Florence n’en revenait pas d’etre en vacances 🙂 du coup elle en profitait pour faire une carte pour un mariage  dont le code couleur est bleu marine et jaune bouton d’or 

Chapitre Onze était en train de travailler sur l’optimisation du référencement de son blog

 

 

Merci à tous les participants!   Merci aux fidèles et aux nouveaux!

Le prochain rendez-vous sera  : le jeudi 5/05 à 5h05 (dans la nuit de mercredi à jeudi… quelque chose me dit qu’on ne sera toujours pas nombreux!)  et/ou à 17h05 : Parlez en autour de vous 😉

Un rappel une semaine avant et la veille au soir et le jour même pour éviter d’oublier 😉 

J’espère que nous serons nombreux à jouer!

Souvenirs, souvenirs :Voici ce qu’on faisait  le 3/03 à 3h03 et  le 4/04 à 4h04  et le 5/05 à 5h05 et le 6/06 à 6h06  et le 7/7 à 7h07  et le 9/9 à 9h09  et le 10/10 à 10h10  et le 11 / 11 à 11h11 et  le 12/12 à 12h12 et le 1/01 à 1h1 ou 13h01 et le 2/2 à 14h02 et le 3/3 à 15h03 et le 4/4 à 16h04 et le 5/5 à 17h05 et le 6/6 à 18h06 et le 7/7 à 19h07 et le 9/9  et le 10/10  et le 11/11 et le 12/12  et le 1/1  et le 2/2  et le 3/3  et le 4/4 et le 5/5 et le 6/6 et le 7/7 et le 9/9 et le 10/10 et le 11/11 et le 12/12 et le 1/1 et le 2/2 et le 3/3

Qu’est ce que je faisais le lundi 4 avril à 04h04 ET/OU à 16h04?

Le 4/04 à 04h04  : Je dormais!

 

Le 4/04 à 16h04  : Je corrigeais des évaluations orales de mes élèves de 4ème

 

 

Si vous avez joué, envoyez moi votre photo dès que possible : ennalit@gmail.com en racontant ce que vous faisiez (pensez aussi à me donner votre pseudo et si vous avez un blog pour le recap’, précisez aussi à quel moment de la journée c’était, matin ou soir)

On se donne au plus tard le 7   pour qu’on puisse mettre la mosaïque en ligne le 11?

A bientôt!

L’Arabe du futur 2 -Une jeunesse au Moyen Orient (1984-1985) : Riad Sattouf

J’avais lu le Tome 1 de « L’arabe du futur » et j’avais bien aimé alors quand ma collègue m’a proposé de me prêter le tome 2 j’ai tout de suite dit oui mais je dois dire que mon avis est plus mitigé que la première fois.

On retrouve le petit Riad qui vit avec ses parents et son petit frère en Syrie. Le village est toujours aussi sommaire et arriéré, le point de vue est toujours celui de l’enfant alors on voit la vie quotidienne, l’école, ses parents, ses amis…

J’ai beaucoup de mal à en parler car en réalité je me suis un peu ennuyée. J’ai trouvé cet album très répétitif et je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. Le père qui prend toutes les décisions arbitrairement n’a aucune empathie pour sa famille, la mère est toujours aussi molle et ne s’implique jamais et même Riad qui semble ne pas évoluer beaucoup…

Il y a des scènes très drôles par moments (celle de l’achat des fournitures scolaire par exemple), des choses dures, comme les scènes de l’école. Mais je regrette qu’il n’y ait moins de passages plus « politiques » que j’avais appréciés dans le premier tome. J’ai vraiment trouvé moins d’intérêt à cet album et je ne pense pas que je lirai le suivant…

par Marianne

Jeangot 1- Renard Manouche : Joann Sfar et Clément Oubrerie

Encore une BD que j’ai prise au hasard, dans la section musique de la médiathèque cette fois-ci. Cette BD est une biographie arrangée du musicien mythique Django Reinhardt. Arrangée, adaptée, imaginée et pourtant basée sur des faits. Les personnages sont un hérisson qui est comme un frère pour Jeangot, le renard Manouche, passionné de banjo qui après un accident se met à jouer de la guitare à sa manière comme un virtuose.

Je ne connaissais pas la vie du vrai Django Reinhardt et après la lecture de l’album je suis allée me renseignée  et j’ai pu voir que les faits étaient là mais sous la forme d’un conte avec des personnages animaux et le côté légende…

Concernant les dessins, j’ai aimé les traits et les couleurs avec cette touche de folie qui allait très bien au personnage. J’ai aimé aussi que l’on « sente » la musique dans les dessins.

Mais attention, ce n’est pas parce que ce sont des animaux qu’il faut mettre cette BD entre les mains de trop jeunes lecteurs : c’est « vert » et avec un côté complètement déjanté, gargantuesque par moment mais ça passe très bien pour le lecteur adulte !

catégorie « prénom » pour ma ligne BD du Petit Bac 2016

Tant que nous sommes vivants : Anne Laure Bondoux

J’ai lu ce roman sans vraiment savoir de quoi il parlait car il fait partie de la sélection des Incorruptibles et cela a été une très bonne surprise pour moi.

Je ne sais pas très bien comment en parler car il ne faut pas trop en dire… Je peux vous dire qu’ on ne sait pas vraiment où ni vraiment quand l’histoire se passe –réalité ou monde imaginaire, futur dystopique ? Peu importe…

Dans un village, une usine d’armement tourne en continu et Hama et Bo tombent amoureux fous quand ils se croisent aux changements d’équipes de jour et de nuit. Leur amour est la base de cette histoire. Un jour ils devront quitter cette ville car ils ne peuvent pas vivre heureux parmi des gens qui se déchirent autour de la notion du bonheur…

Ils vont découvrir une nouvelle vie dans laquelle ils auront une fille et vivront sous terre entourés d’être protecteurs qui sauront leur transmettre la sécurité et de l’amour.

Puis, ils quitteront cette vie pour une autre, plus apaisée mais la vraie vie et la guerre les rattraperont. Ce sera alors le tour de leur fille de tomber amoureuse et de fuir en faisant le chemin inverse de ses parents.

Je résume très mal et c’est un peu exprès car je ne veux vraiment trop en dire car ce roman est plein de mystères et de secrets de famille qui ne sont pas forcément révélés aux protagonistes ou en tout cas pas de manière linéaire ou complète.

Je ressors de cette lecture beaucoup d’amour, de la quête de soi, des histoires et des contes racontés dans les ombres, de la magie et du mystère, de l’art dans le façonnage du métal. Je n’ai pas été bousculée par ces thèmes tirant sur l’imaginaire et le fantastique qui ne sont pourtant pas mon domaine de prédilection. Je me suis laissée porter par cet univers onirique et tout simplement beau. J’imagine très bien une suite, ou un autre roman avec un autre angle et j’imagine aussi très bien un film d’animation !

Gwenaëlle en a parlé aussi en y ajoutant son interprétation d’artiste : c’est sublime!

 avec Blandine et  Laurette. Allons voir leurs avis!

 sélection 3ème -seconde 2015-2016

Pour la ligne « jeunesse », catégorie « phrase » pour le Petit Bac 2015

Festival Rue des Livres 2016 à Rennes et rencontres des « Blogueurs de l’Ouest »!

Samedi 12 mars, j’étais à Rennes pour le Festival Rue des livres, un salon du livre gratuit et à taille humaine où j’ai retrouvé le traditionnel groupe des  « Blogueurs de l’Ouest » grâce à l’organisation toujours parfaite de Gambadou. Vous pouvez lire mes compte-rendus de 2011 2012 et 2014 

Après avoir roulé dans un brouillard à couper au couteau, je suis arrivée à Rennes sous le soleil et j’ai d’abord retrouvé Sandrine à 11h. Puis nous avons été rejointes par Canel et son mari et Géraldine. Peu de temps après, Gambadou est arrivée avec le groupe de voyageurs en train:  SylireClaireYvon et sa femme.

Nous avons fait une petit tour dans le salon : j’en ai profité pour aller saluer Sorj Chalandon et faire dédicacer son dernier livre. La discussion a été sympathique mais il faut que je me rende à l’évidence : il ne se souvenait pas de moi 😉

*

Pour être honnête, notre premier petit tour dans le salon a surtout été une excuse pour nous arrêter toutes les 5 minutes pour bavarder entre nous de tout et de rien et beaucoup des livres que nous voyions sur les stands (heureusement que nous n’avons pas acheté tous les livres recommandés par les unes et les autres 😉

Je suis allée faire un tour du côté des stands de littérature jeunesse et j’ai acheté un livre pour Bastien au titre qui me paraissait parfait pour cette journée sans Homme ni enfant : « Papa qui lit ». Charles Dutertre, l’illustrateur a fait une chouette dédicace et m’a dit que ce livre était une commande qu’il avait acceptée avec plaisir car lui-même étant papa de trois enfants, le sujet du papa qui lit l’histoire du soir lui parlait bien. Je lui ai fait remarquer que ses enfants avaient de la chance d’avoir un papa qui faisait des livres et il m’a dit que sa série « Louison Mignon » était basée sur sa propre fille qui est surnommée ainsi chez eux 😉

*

Nous nous sommes ensuite retrouvés avec Antigone que je rencontrai pour la première fois (et avec grand plaisir car je la suis depuis très longtemps sur la blogo) et Yaneck que j’avais déjà rencontré en 2014.

Nous avons mangé ensemble dans une pizzeria non sans avoir papoté tout le long du chemin, de tout et de rien mais beaucoup de livres et de blogs 😉

*

Un petit groupe est parti en avance pour aller écouter Sorj Chalandon parler de son dernier roman « Profession du père ».

Il a expliqué que dans ses romans il essayait de prendre de la distance car pour lui le roman a plus d’élégance que la réalité. Il a listé les choses dans le roman qui ne correspondaient pas à sa réalité, expliquant notamment que le personnage de l’enfant, Emile, était un mélange de son frère et lui. Il a dit qu’en étant Emile, il prenait une distance pour être « je » sans être tout à fait lui. Il se réappropriait Sorj.

Il a aussi parlé de son style aux phrases souvent courtes et a expliqué que ce n’était pas un « effet » mais une conséquence de son bégayement de l’enfance qui l’a toujours obligé à aller vers l’épure dans le langage. Un besoin d’aller là où le mot est le plus cru, le plus vrai. Un besoin que dans une phrase il y ait un monde entier. L’oralité et l’écrit passent pour lui par des phrases courtes et des points pour garder le sens du mot, pour ne pas trahir ses mots.

Quand il a parlé du sujet de son roman, il a expliqué que s’il avait pleuré en l’écrivant, il ne voulait pas pour autant qu’il y ait de larmes dans le texte. Il voulait qu’on puisse y trouver l’effroi qui empêche de respirer mais pas de larmes. Il voulait raconter l’épouvante pour qu’elle soit ressentie.

Il a aussi dit que pour lui, la violence physique était annexe, que ce qui était plus grave c’était que l’home qui portait les coups s’invente des vies et entraîne son enfant dans ces vies et que l’enfant devenait le véhicule des mensonges du père, tout le monde croyant que c’était l’enfant qui mentait, qui était dingue,  personne ne pouvant imaginer qu’il y avait un adulte derrière. Enfant, il croyait jouer aux cow-boys et aux indiens mais à aucun moment le père ne disait qu’il « jouait », car lui « vivait » ces situations. Il a fait remarquer d’ailleurs au sujet du mensonge que son frère est devenu détective privé et lui journaliste : deux métiers qui recherchent la vérité.

Il a aussi parlé de sa famille. Expliquant qu’il avait déjà écrit sur son père (« La légende de nos pères ») mais que ce dernier après l’avoir lu n’avait absolument pas compris qu’il s’agissait de lui. Il a écrit « Profession du père » après la mort de son père, commençant littéralement à prendre des notes le jour de l’inhumation. Avant que le roman ne sorte, il l’a fait lire à sa mère et à son frère. Sa mère lui a juste dit qu’elle l’avait lu et qu’elle proposait qu’ils n’en reparlent plus jamais. Il a aussi raconté qu’après la mort du père, il pensait pouvoir atteindre sa mère mais elle restait ancrée dans l’image de son mari, ne semblant pas pouvoir lui faire le moindre reproche. Quant à son frère, il lui a dit qu’il avait beaucoup ri en le lisant. Récemment, son frère lui a avoué que lui, enfant, n’avait jamais cru les histoires du père et quand Sorj lui a demandé pourquoi  lui le croyait, son frère a répondu « Parce que toi, tu l’aimais ». D’ailleurs, il dit que jusqu’au bout il a attendu quelque chose de son père et regretté aussi que sa mère ne lui fasse pas comprendre une seule fois que quoi qu’il se passe elle était là pour lui.

Cette entretien était assez drôle, beaucoup plus léger que les autres fois où j’ai assisté à des rencontres. Il a raconté avec beaucoup d’humour les vraies situations vécues avec son père, comme des histoires d’enfances ordinaires. Il a aussi plaisanté sur le fait qu’à chaque fois qu’il allait dans des salons ou des rencontres, il y a des psys qui lui donnaient leur carte en s’inquiétant de son étant mental actuel 😉 Il était plus drôle et léger mais il bégayait un peu vers la fin quand il parlait de sa mère, ce qui montrait quand même son émotion.

Et enfin, il a dit que concernant son écriture, il en avait fini avec la guerre, que l’Irlande était retournée dans la sphère privée car c’était maintenant uniquement en lien avec un pays et des gens qu’il aimait et qu’il avait fait le deuil du père. Il n’a écrit à ce jour qu’un seul roman complètement imaginaire (« Une promesse ») qui ne soit pas lié à des blessures personnelles et comme il ne se souhaitait pas d’autres malheurs, il y avait donc deux solutions maintenant : soit il arrêtait d’écrire complètement, soit il passait en fiction pure en quittant les blessures intimes.

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Après cette rencontre très intéressante, je suis allée voir Jeff Sourdin, un auteur que je voulais rencontrer depuis longtemps mais que je connaissais déjà pourtant… Il avait été prof stagiaire dans mon collège il y a très longtemps et je savais qu’il était aussi auteur mais je n’avais pas encore eu l’occasion ni de le lire ni de le voir depuis. Ce qui est très amusant c’est qu’il m’a tout de suite reconnue (alors qu’on ne s’était pas vus depuis plus de 10 ans !) J’ai beaucoup apprécié de discuter avec lui. Déjà, j’avais oublié que « Sourdin » était son vrai nom de famille (ben oui, on ne s’appelle pas M. Truc et Mme Machin en salle des profs, alors j’avais juste retenu son prénom) et j’étais persuadée que « Sourdin » était un pseudo car c’est le nom des habitants de la ville où nous travaillions à l’époque ! J’ai acheté son premier roman « Ripeur » dont Midola avait parlé chez elle et que j’avais envie de lire depuis très longtemps et son dernier « Pays retrouvé » pour lequel Midola a aussi eu un coup de cœur ! Nous avons parlé du collège, des anciens collègues, de nos vies actuelles et de la maison d’édition « La part commune » maison Rennaise qui fait de très beaux objets livres.

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Après avoir fait une petite pause avec mes copines blogueuses et reparlé de la rencontre avec Sorj Chalandon, j’ai été tentée par l’achat qu’Antigone avait fait d’un roman de l’auteur jeunesse Hubert Ben Kemoun, me rappelant que j’avais beaucoup aimé « La gazelle » et que comme je « collectionne » un peu les romans en lien avec la course à pied je voulais l’acheter. Cette rencontre a été très drôle ! Quand nous sommes arrivées avec Antigone, il était sur le point de partir. Mais je lui ai dit que je voulais acheter « La Gazelle » car je l’avais déjà  lu et que j’avais aimé. Il m’a répondu que c’était un roman que lui aimait beaucoup mais qu’en général les gens n’aimaient pas car il ne s’y passait rien ! Je lui ai dit que moi qui courais, je trouvais au contraire c’était un roman très réaliste car quand on court de longues distances notre esprit vagabonde tout à fait comme ça. Il a dit qu’il était tout à fait d’accord avec moi et que seules les bonnes lectrices le voyaient (tout ça avec humour bien sûr !) Après il m’a demandé pourquoi je voulais acheter si je l’avais déjà lu. Alors je lui ai demandé lequel il me conseillait et il m’a dit « Lisez celui là ! » en montrant son dernier roman « La fille quelques heures avant l’impact » (qu’Aproposdelivres venait de lire justement et avait aimé). Il était encore pressé de partir et m’a dit faussement bourru « Je suppose vous voulez une dédicace ? » J’ai dit oui et il m’a dit : « C’est bien parce que j’ai repéré vos collants Mona Lisa » (Oui, j’avais des collants avec Mona Lisa dessus… tiens, tiens, comment a-t-il pu les repérer ? 😉  La conversation était vraiment drôle et plein de sous-entendus, j’ai adoré cette rencontre ! Nous avons pris une photo et je crois que ça se voit 😉 Juste avant de partir, il y avait un petit garçon qu’il semblait connaître pour qui il n’avait plus le temps de faire une dédicace (à cause de moi 😦 ) et il lui a dit très gentiment « Tu sais, ce n’est pas important la dédicace, ce qui est important ce sont les histoires du livres et puis, il faut que tu arrêtes de ruiner ta maman : emprunte les à la médiathèque » (et j’ai beaucoup aimé cette petite phrase !)

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Avant de rejoindre les autres, Antigone et moi avons craqué sur une petite revue « Pop Corn : La revue qui se fait des films » sur Star Wars pour nos fils réspectifs, dédicacée par Pauline Payen.

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Juste au moment où Sandrine et moi allions repartir, nous avons croisé Midola qui était venue avec son fils et j’étais vraiment très contente de la revoir !

Inutile de vous dire que j’ai adoré cette journée ! Elle tombait parfaitement à pic : après deux semaines d’arrêt maladie, j’avais un peu le moral en berne car je me suis sentie un peu isolée chez moi alors voir plein de têtes connues ou faire de nouvelles rencontres, papoter de livres et autres, rire et plaisanter m’ont fait beaucoup de bien ! Merci à tous pour votre bonne humeur et la passion des livres qui nous réunit!

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Je vous laisse avec des photos de groupe où nous montrons à quel point les blogueurs de l’Ouest sont sérieux (ou pas 😉

Cette année, il y avait (par ordre alphabétique et non d’apparition sur les photos) :  Antigone (son billet sur la journée est ici)Aproposdelivres (son billet sur la journée est ici)Canel (qui est notre photographe) (son billet sur la journée est ici)Gambadou (son billet sur la journée est ici)Géraldine Sandrine (son billet sur la journée est ici)SylireYaneck (qui n’était pas là au moment des photos), Yvon (et son épouse Nicole).

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Et un petit clin d’oeil, le festival proposait de coller un post it avec un coup de coeur de lecture : moi j’ai noté mon dernier coup de coeur en date « Les gens dans l’enveloppe » de Isabelle Monnin.


Commentaires laissés à l’époque sur canalblog :
  • Super journée ! c’est toujours très sympa ces rencontres avec les blogueuses et les auteurs. Sorj qui ne t’a pas reconnue, tu vas t’en remettre ?? 
Posté par aifelle1dimanche 20 mars 2016
  • oh oui, une super journée! Oh tu sais, je joue un peu la « groupie » : je ne me faisais aucune illusion sur mon lien avec Sorj Chalandon  Ce que

j’aime vraiment ce sont ses mots (à l’écrit mais aussi à l’oral)  Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016 |

  •  Ton compte rendu est très complet. Oui, une chouette journée. J’ai vu moins d’auteurs que toi mais je me suis rattrapée le lendemain au salon de Quintin. Vivement l’an prochain ! Posté par syliredimanche 20 mars 2016
  • Bavarde un jour, bavarde toujours  Tu as de la chance d’avoir plein de petits salons à taille humaine près de chez toi. Le salon du livre de Paris ne me fait pas du tout envie! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • Quelle chouette journée. Je n’ai jamais eu la chance de rencontrer Sorj Chalandon mais avec ce petit compte-rendu, c’est un peu comme si j’y étais ! Merci ! Posté par Saxaouldimanche 20 mars 2016
  • Je suis ravie de te faire participer indirectement à cette rencontre  et j’espère qu’un jour on pourra faire une rencontre de blogueurs avec toi! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • Un compte rendu exhaustif et sympa! Sorj ne se rappelait pas de toi ? Mais quel mufle!  Posté par Gwenaëlledimanche 20 mars 2016
  •  Je ne peux même pas lui en vouloir : il voit tant de monde et je ne suis pas la seule à l’aimer  J’ai en tout cas passé un super moment entre blogueurs (et je serai venue pour LES voir même si Sorj n’avait pas été là  Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • C’est sympa ! J’attends le festival du livre de Nice avec impatience   Je vois que tu as fais quelques petits achats, histoire de faire monter un peu ta PAL  Posté par Chapitre Onzedimanche 20 mars 2016
  • Difficile de résister! par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • et bin didonc toute une bien belle journee didonc…et surtout le meilleure que de chouettes rencontres…j’adore didonc…j’adore…. Posté par racheldimanche 20 mars 2016
  • Oh oui, des retrouvailles de blogueurs, une rencontre avec Antigone et des auteurs très sympas : j’ai passé une excellente journée! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • yesss…c reparti pour les coms…lol….ouiiii vraiment une journee toute bonne pour recharger les piles…que du bonheur…. Posté par rachellundi 21 mars 2016 |
  • oui, c’est exactement ça : du bonheur! Posté par ennapapillon, mardi 22 mars 2016
  • Oui, c’était une super journée !! Nous nous sommes bien amusées. Et puis je me suis sentie tout de suite à l’aise, bien que « petite nouvelle »… il faut dire que nous nous connaissons depuis des années. Je lirai le Chalandon, très certainement, son discours était très marquant. Posté par Antigone1dimanche 20 mars 2016
  • Je n’ai pas du tout eu l’impression que tu étais une « petite nouvelle », j’avais ml’impression qu’on se connaissait déjà (vive les blogs, ils ne sont pas si virtuels que ça!) J’espère qu’on pourra se revoir vite! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • Merci de partager ce moment avec nous. Posté par manikadimanche 20 mars 2016
  • Je ne peux que te souhaiter de faire de chouette rencontres comme ça!  Posté par ennapapillonmardi 22 mars 2016
  • Tu me fais rire quand tu dis de Jeff Sourdin que tu avais envie de lui    si si tu l’as dit  Posté par Sandrine(SD49)dimanche 20 mars 2016
  • J’ai dit ça ?? Non?? A lui?? Roh… Je ne m’en souviens pas (Sorj Chalandon peut me donner les cartes des psy qu’il aura reçu ce jour là car c’était inconscient pour le coup !! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • Tu le dis dans ton billet  Posté par Sandrine(SD49)dimanche 20 mars 2016
  • et depuis très longtemps en plus  Posté par Sandrine(SD49)dimanche 20 mars 2016
  • Non??? Je me suis relue pourtant, je n’avais pas vu ça… Je vais me relire! Posté par ennapapillon, dimanche 20 mars 2016
  • Ça fait plaisir de relire un compte rendu de cette journée, comme ça j’ai l’impression de la revivre une deuxième fois ! Cool !Posté par Gambadou, dimanche 20 mars 2016
  • ça passe trop vite ce genre de journée! Merci encore d’avoir organisé ça avec ta bonne humeur habituelle! J’espère pouvoir revenir l’année prochaine!  Posté par ennapapillon, mardi 22 mars 2016
  • Super ce concept de rencontre des globeuses de l’Ouest, l’année prochaine j’essaye d’en être… Posté par Joëlledimanche 20 mars 2016
  • N’hésite pas : c’est très convivial! C’est toujours au mois de mars et Gambadou organise ça de main de maître  Posté par ennapapillon, mardi 22 mars 2016
  • A chaque fois que je lis les compte-rendus je me dis qu’il faudrait vraiment que j’y aille, il a l’air très sympa ce salon, et les blogueurs aussi  Posté par Tiphanielundi 21 mars 2016
  • ça fait peut-être un peu loin pour toi  mais je serai vraiment contente de te rencontrer enfin!  Posté par ennapapillon, mardi 22 mars 2016
  • J’irai peut-être l’année prochaine, après tout moi aussi je suis une blogueuse de l’ouest ! Posté par Arianelundi 21 mars 2016
  • Bonne idée! C’est en mars et Gambadou se charge de rassembler tout le monde! On s »y verra peut-être! Posté par ennapapillon, mardi 22 mars 2016 |