Némesis : Agatha Christie

Miss Marple apprend qu’un certain M. Rafiel l’a couchée sur son testament. Elle l’avait rencontré aux Antilles (dans « Le major parlait trop ») quand elle avait fait appel à lui pour éviter un meurtre.

Dans son testament, il lui confie une mission posthume. Elle touchera une certaine somme d’argent si elle utilise son don pour la justice pour mener une enquête et résoudre un crime mais il ne lui donne aucune indication, sur le crime en question : aucune piste ! La seule chose qu’elle sait c’est qu’il lui a réservé un voyage organisé en Angleterre pour visiter des châteaux et jardins…

Miss Marple s’interroge sur les autres participants au voyage -ont-ils des liens avec M. Rafiel ? Elle les observe tous pour trouver une piste sur le crime qu’elle doit résoudre.

Au cours du voyage, trois sœurs vivant dans un manoir la contactent car M. Rafiel leur avait parlé d’elle avant sa mort. C’est alors qu’elle apprend que son bienfaiteur avait un fils qui a été condamné pour le meurtre d’une jeune fille quelques temps plus tôt.

L’esprit de Miss Marple tourne à plein régime et bien entendu, sa connaissance de la nature humaine et son don d’observation lui font comprendre ce que M. Rafiel voulait qu’elle voie sans l’influencer et elle résout le crime.

Un bon roman qui cette fois se passe dans les années 70 et il y a d’ailleurs pas mal d’allusions aux changements des mœurs des jeunes gens qui sont bien différents de ceux des années 20 et 30, surtout aux yeux d’une Miss Marple vieillissante.

49e Agatha Christie de ma collection

4 commentaires sur « Némesis : Agatha Christie »

  1. En général, j’aime moins les Agatha Christie d’après guerre mais celui-la donne envie. Le point de départ, ce crime à découvrir, et le voyage parmi les châteaux et jardins anglais me tentent beaucoup ainsi ce que tu écris sur le changement des moeurs … Merci pour ce billet

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    1. oui, moi aussi j’ai une préférence pour les années 20-30 mais celui-ci est
      un peu différent! Merci
      Posté par ennapapillon, mercredi 25 janvier 2017

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