Églantine travaille comme graphiste à Paris. Elle n’a pas vraiment connu son père et pourtant à sa mort, elle retourne dans le village breton où elle a passé sa jeunesse avant la séparation de ses parents et où il a toujours vécu. Elle y retrouve Gaël, son copain d’enfance qu’elle n’avait pas revu depuis ses jeunes années et sa tante Marronde.

Son père lui a légué sa maison et sa pâtisserie et au début elle n’a qu’une envie se débarrasser de tout ce qui est en rapport avec ce père à qui elle en veut encore de les avoir chassées, elle et sa mère, de sa vie. Mais petit à petit, elle apprend à connaître l’homme par son journal, elle découvre quelqu’un de différent de celui qu’elle croyait connaître… Et puis elle s’attache à Marronde et à Gaël, et aux chats… Et quand avec leur aide elle décide de reprendre la pâtisserie ce n’est pas que le village qui revit mais elle aussi!

J’ai beaucoup aimé la thématique de la transmission, que ce soit par la maison mais aussi par la passion de la cuisine. C’est l’histoire d’un héritage qui va au-delà du matériel. Mais c’est aussi une très jolie histoire, un peu feel good et joyeuse.

J’ai beaucoup aimé les dessins (mais j’aime toujours le travail de Anne Montel et Loïc Clément!)

 ma Best

  chez Moka 

38 commentaires sur « Les jours sucrés : Loïc Clément et Anne Montel »

    1. Ce sont deux auteurs que j’aime beaucoup et je trouve qu’ils ont réussi à parler d’un sujet intéressant avec beaucoup de douceur et de légèreté et d’humour aussi

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    1. Ah oui, c’est possible 😉 je m’en souviendrai peut-être plus car j’ai lu deux BD sur l’héritage l’une à la suite de l’autre et ça m’a marqué cette coïncidence

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