Résumé de l’éditeur :

« Au début des années 1920, le comte Alexandre Illitch Rostov, aristocrate impénitent, est condamné par un tribunal bolchévique à vivre en résidence surveillée dans le luxueux hôtel Metropol de Moscou, où le comte a ses habitudes, à quelques encablures du Kremlin. Acceptant joyeusement son sort, le comte Rostov hante les couloirs, salons feutrés, restaurants et salles de réception de l’hôtel, et noue des liens avec le personnel de sa prison dorée   – officiant bientôt comme serveur au prestigieux restaurant Boyarski –, des diplomates étrangers de passage – dont le comte sait obtenir les confidences à force de charme, d’esprit, et de vodka –, une belle actrice inaccessible – ou presque ­–, et côtoie les nouveaux maîtres de la Russie. Mais, plus que toute autre, c’est sa rencontre avec Nina, une fillette de neuf ans, qui bouleverse le cours de sa vie bien réglée au Metropol.
Trois décennies durant, le comte vit nombre d’aventures retranché derrière les grandes baies vitrées du Metropol, microcosme où se rejouent les bouleversements la Russie soviétique. »

Je vous donne le résumé de l’éditeur car j’ai beaucoup de mal à rassembler mes idées pour vous faire un résumé concis de ce livre qui est assez gros avec ses 17 heures d’écoute et ses 576 pages en version papier.

Je dois commencer par vous dire que je me suis un peu ennuyée sur la première moitié et qu’à la fin de la plage 35 (la moitié) j’ai évoqué l’idée d’abandonner et à la plage 36, il y a eu un rebondissement et j’ai fini ce roman avec plaisir.

La première partie m’a parue très longue et répétitive. La suite implique plus de personnages, le comte Alexandre Illitch Rostov devient plus intéressant au contact des personnes qu’il côtoie et on en apprend plus sur l’évolution de la Russie d’un point de vue politique -national et international et même quotidien (sans pour autant sortir de l’hôtel).

Mais c’est quand même dommage qu’il ait fallu la moitié d’un gros roman pour m’intéresser. En version papier, c’est certain que j’aurais abandonné mais j’audiolis en conduisant alors ça ne me donne pas autant l’impression de perdre mon temps. Je dois aussi dire que Thibault de Montalembert est un acteur dont j’aime toutes les lectures et si j’ai tenu la première partie, c’est uniquement grâce à lui.

Alors, quand viendra le moment de faire mon choix dans le classement pour le prix Audiolib je serai bien embêtée car j’ai aimé la fin mais c’est un miracle que je sois arrivée au bout de la première moitié!

Je suis curieuse d’avoir votre avis sur ce roman! Avez-vous eu aussi du mal avec le début?

 Chez Sylire

Aussi lu par Aproposdelivres, AzilisEstellecalimSandrine, Sylire qui sont aussi jurées pour le prix.

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11 commentaires sur « Un gentleman à Moscou : Amor Towles (Lu par Thibault de Montalembert) »

    1. et si tu lis les billets des copines du prix tu ne vas pas être rassurée car tout le monde a trouvé ça trop long 😉 Pour moi, tu peux lire le début pour connaître le contexte et passer vite à la deuxième moitié 😉

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  1. Moi je l’ai lu (papier) pour le prix des Lectrices et j’ai adoré ! Mais j’avoue que je ne me souviens plus si j’ai trouvé la première partie longue ou non…

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  2. J’avais bien aimé la version papier, le fait d’être au courant de tout ce qui se passe en Russie tout en restant dans un hôtel.

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    1. Oui, mais ça j’ai trouvé que ça arrivait dans la deuxième moitié, dans la première, c’est vraiment centré sur la vie dans l’hôtel

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