Résumé de l’éditeur : « Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l’admire. Mais hélas la vie n’est pas un long fleuve tranquille… Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Une idylle merveilleuse va alors se nouer entre eux. Mais la vie est-elle toujours du côté de l’amour ? Les sentiments purs et absolus ne sont-ils pas qu’une feuille morte emportée par le vent ? Un arc-en-ciel ne finit-il pas toujours par disparaître derrière les nuages ?

Un hommage appuyé aux romans-photos et à tout ce que l’amour a pu inspirer pour vendre du papier aux amateurs et amatrices de roman à l’eau de rose. Si vous pensiez avoir fait le tour de la question sur ce genre de littérature, laissez-nous vous soumettre l’idée qu’on peut aller encore un peu plus loin, grâce à Fabcaro.« 

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Je vous ai recopié le résumé de l’éditeur pour raconter l’histoire de base mais si vous ne connaissez pas Fabcaro, il faut savoir qu’il détricote tous les codes en utilisant du second degré puissance 10 et il y a un côté complètement décalé qui est très drôle (si on adhère!). Des phrases creuses et vides de sens sur l’amour au sein du couple, un livreur de macédoine plutôt que de pizza, des clichés très années 50 mais détournés par l’auteur.

Il faut se laisser porter sans idées préconçues, accepter de lire des échanges qui n’ont aucun sens et c’est drôle! Cependant, j’ai nettement préféré « Zaï Zaï Zaï Zaï » qui avait le même décalage et le même humour mais qui allait plus loin en traitant aussi des sujets de société que je n’ai pas retrouvés ici. J’ai eu un peu l’impression que c’était plus un effet de style (réussi, certes) mais qui manquait un peu de fond pour moi.

Mais c’est une bonne lecture pour sourire!

  chez Noukette

19 commentaires sur « Et si l’amour c’était aimer? : Fabcaro »

  1. J’ai détesté… j’ai eu l’impression d’entendre tous ces auteurs qui se sentent supérieurs parce qu’ils écrivent de la blanche et se pensent supérieurs à ceux qui écrivent des romans d’amour. J’ai trouvé cette BD d’une condescendance à gerber 🙂

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    1. alors peut-être que je me laisserai tenter pas « Moins qu’hier et plus que demain » mais je vais laisser un peu de temps entre deux lecture de l’auteur 😉

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    1. il y en a d’autres à la médiathèque, je les lirai sans doute mais je pense que je vais espacer pour « oublier » un peu car son univers humoristique est dans le même style je trouve.

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