Résumé de l’éditeur : « Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre… Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse…Inspiré par des découvertes et des événements réels, Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.«
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Au niveau du résumé, je n’ai rien de mieux à dire que celui proposé par l’éditeur alors je n’en dirai pas plus.
Mon avis est plutôt positif mais je pense qu’il l’a été aussi parce que cette version audio était très bien lue. Je ne suis pas sure que j’aurais autant aimé si je l’avais lu version papier. En effet, il y a dans ce roman de nombreux rebondissements, des cliffhangers et de situations haletantes et irréalistes, des éléments auxquels je suis en général assez réfractaire en littérature ou en cinéma (je ne suis pas fan des tous les « Mission impossible » par exemple). Mais la lecture audio m’a permis de suivre l’histoire de façon rythmée qui est très bien passée.
Au-delà de l’enquête à proprement parler, il y a tout un pan scientifique et religieux qui est plutôt intéressant, même si c’est assez complexe.
Je dirais que c’est un bon thriller si on aime l’action et je vous conseille la version audio.
Lu en 2021