Ce roman se situe dans l’entre-deux guerres dans un milieu aisé de l’aristocratie anglaise (qui n’était pas sans me rappeler ma lecture récente de « Passé imparfait » à une autre époque.)

L’histoire commence un peu comme dans une scène de « Downton Abbey » quand sir Oswald Coote et sa femme ont invité quelques jeunes hommes et filles de bonne famille. Cela commence un peu sur un mode humoristique quand les jeunes décident de faire une blague à l’un d’entre eux qui se réveille toujours trop tard en lui mettant 8 réveils à sonner le matin suivant… Mais l’histoire prend un autre tour quand le jeune homme est retrouvé mort …

Le médecin pense que c’est un soit un suicide soit un accident dans la prise de somnifères. Plus tard, Bundle, la fille de Sir Oswald à qui appartient la propriété où le jeune homme est mort, trouve un brouillon de lettre qu’il a écrite à sa demi-sœur et qui évoque « sept cadrans »… Cela intrigue beaucoup la jeune fille qui est très curieuse car dans la.chambre du mort, 7 cadrans étaient alignés et non huit et quand un 2e jeune homme de leur entourage meurt quelques temps plus tard sous ses yeux, Bundle ne peut pas s’empêcher de penser à un meurtre et comme les derniers mots de la 2e victime sont le nom d’un de leurs camarades et « sept cadrans », elle pense qu’il y a un lien…

Je ne veux pas en dire beaucoup plus, car c’est un peu compliqué à résumer mais ce n’est pas vraiment une enquête policière mais plutôt une histoire d’espionnage et de société secrète et les personnages rencontrés dans la première partie se retrouvent dans des aventures assez rocambolesques.

Ce n’est certainement pas mon roman préféré de Agatha Christie mais j’ai bien aimé la peinture de la société de l’aristocratie anglaise et surtout la modernité du personnage de la jeune Bundle, une jeune femme indépendante et intrépide et hors normes pour l’époque. Il y a de l’aventure et de l’humour mais j’avoue que les histoires d’espionnage ne sont pas celles que je préfère chez Agatha Christie.

63e de ma PAL Agatha Christie

chez Lou et Titine

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2 commentaires sur « Les sept cadrans : Agatha Christie »

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