Où sont passés les grands jours ? (T1 et 2) : Jim et Alexandre Tefenkgi 

Hugo, Étienne et Jean-Marc sont amis et il leur manque un comparse : Fred qui s’est suicidé quelques mois auparavant. Au début de l’histoire, ils sont réunis chez le notaire où ils reçoivent des cadeaux incongrus de la part de leur ami mort. Ils ne comprennent pas le lien entre ces cadeaux et eux. Ils vont se creuser la tête pour essayer de comprendre et finalement ces cadeaux vont les obliger à agir sur leurs vies et ils vont les aider.

En parallèle, on suit la vie de Hugo de plus près. Il se retrouve aussi dans un tourbillon dans sa vie amoureuse : il est tellement perturbé par la mort de Fred que sa vie se retrouve dans une impasse… Il ne supporte pas la perte de son meilleur ami. Il appelle le numéro de Fred et tombe sur la personne qui a récupéré le numéro. Une conversation s’installe et un lien se tisse entre eux. Hugo va faire son possible pour aider cet homme comme il regrette de ne pas l’avoir fait avec Fred.

C’est une histoire sur le deuil, sur l’amitié, sur le remord, sur la façon dont on peut chercher des signes pour faire avancer sa vie et sur comment on peut la détruire. J’ai trouvé les situations et les personnages assez réalistes (même s’ils ne sont pas forcément toujours sympathiques) et j’ai bien aimé l’histoire.

Cette bande dessinée en deux tomes existe aussi en volume intégral et je vous conseille vraiment d’avoir les deux tomes sous la main.

Pour lire un extrait cliquez ici!

Repéré chez Amandine.

Et de Jim (avec Mermoux) j’avais aussi lu « L’invitation« .

catégorie moment de la journée

Les pizzlys : Jérémie Moreau

Nathan est un jeune homme qui doit travailler de longues heures comme chauffeur Uber pour s’occuper de son frère et sa soeur après la mort de leur mère. Il est en plein crise existentielle et perd pied … Quand il a un accident de voiture, la cliente qui était avec lui rate son avion et il lui propose de venir dormir chez lui.

Annie, la cliente est une femme âgée qui retourne chez elle en Alaska après 40 ans en France. Elle s’étonne de voir Zoé et Etienne, le frère et la soeur de Nathan le nez sur des écrans en permanence et voit bien que le jeune homme n’en peut plus. Elle leur propose de venir avec elle en Alaska quelques temps.

L’adaptation des citadins français à la rude vie du Nord des Etats-Unis est loin d’être simple mais ils trouvent leur place. Nathan marche beaucoup et essaie de retrouver son équilibre mental et les enfants se détachent des écrans. Zoé se lie d’amitié avec une jeune fille qui n’a pas connu les mêmes choses qu’elle.

La nature est abîmée par les hommes et les hommes sont abîmés par le soi-disant progrès et cet album montre comment la nature va reprendre le dessus ainsi que les traditions ancestrales. Nathan et les enfants vont finir par faire un avec leur nouvel environnement.

D’ailleurs, si vous voulez savoir ce que sont les « pizzlys » : ce sont des ours issus d’un croisement entre des ours polaires et des ours bruns et sont une conséquence -une adaptation – du dérèglement climatique, un peu comme la famille française est une adaptation à la vie sauvage après avoir quitté la ville.

Cet album commence comme une histoire de notre époque et se transforme petit à petit en un conte de la tradition indienne. Les aspects écologiques et humains sont essentiels et très bien amenés.

Les dessins sont peut-être surprenants au début, un peu plats et les couleurs artificiellement vives mais petit à petit, au fur et à mesure que l’histoire s’installe en Alaska, les couleurs et les dessins deviennent spectaculaires avec des touches couleurs presque fluorescentes qui vont très bien dans l’histoire : une explosion de sensations.

Je vous conseille vraiment cet album que j’ai trouvé très beau et riche.

Pour voir un extrait cliquez ici!

J’ai beaucoup aimé « La saga de Grimr » et « Penss et les plis du monde« .

Que faisions nous le mardi 10/10 à 10h10 et/ou à 22h10?

Le 10/10 nous avons été 12 à prendre 16 photos -au même moment ou presque- de ce que nous étions en train de faire. J’ai envoyé les photos à Steff qui a fait les mosaïques  :

A 10h10 : 9 PHOTOS

  • Steff n’a pas pris de photo ce matin-là.
  1. Personnellement, j’étais en salle de professeurs au collège et je buvais une tisane en discutant avec une collègue.
  2. Nath Sci était en train de faire sa petite marche (30 mn, au moins un jour sur deux). Elle écoutait les oiseaux, regardait les toiles d’araignée et les dernières gouttes de rosée briller. En entendant les coups de fusil des chasseurs, elle a eu une pensée pour tous les malheureux qui vivent dans des pays en guerre… 😦
  3. Aifelle arrivait au village de Giverny, avant d’aller voir le jardin de Claude Monet, somptueux à cette époque.
  4. Sibylline venait de terminer sa chronique sur End zone de Don Delillo.
  5. Mare tea ne randonnait avec des amis et elle passait devant cette entrée de ferme.
  6. Marie-Luce Miaougraphe était au bureau pour une journée régulière en présentiel. Rien d’exceptionnel. Ce qu’elle a pris en photo est la vue directement dans son dos. Elle travaille au 20e étage.  
  7. Céline était en pleine paperasse au boulot. 
  8. Rachel était clouée au lit par une grippe dont elle ne remet tout doucement.
  9. Nath B était en télétravail. Elle a été sortir son meilleur ami (son robot aspirateur 😉 ) d’une envie de fugue avant de commencer à bosser.

A 22h10 : 7 PHOTOS

  1. Personnellement, je téléchargeais les photos reçues pour le rendez-vous photographique sur le blog.
  2. Steff était en train d’admirer un futur hochet à faire en crochet ( ça rime ! ;-))
  3. Sandrion s’apprêtait à aller se coucher après une sortie au théâtre voir Iphigénie.
  4. Aifelle regardait à la télévision le documentaire « Nous les ouvriers ».
  5. Mare tea ne  lisait L’heure des femmes d’Adèle Bréau.
  6. Marie-Luce Miaougraphe se relaxait et lisait dans un bain mousseux (à quelques minutes près).
  7. Nath B  finissait la 1ère page de scrap de l’année avec l’association. 

Merci à tous les participants : les fidèles (les accros?), les occasionnels et les nouveaux (n’hésitez pas à en parler autour de vous, on peut même jouer sans blog ou sans réseau social!)

Le prochain rendez-vous sera le :

Samedi 11/11 à 11h11 et/ou à 23h11!

Les enfants véritables : Thibault Bérard

J’ai lu et eu un coup de coeur pour « Il est juste que les forts soient frappés » qui raconte la vie de Théo et Sarah et ce roman est une sorte de suite, puisqu’on retrouve Théo et ses enfants avec sa nouvelle compagne Cléo. Je ne veux pas trop en dire sur le lien entre ce roman et le précédant mais je vous conseille vivement de lire « Il est juste que les forts soient frappés », avant comme moi, mais peut-être que le contraire passe aussi car finalement on pourrait sans doute prendre le premier comme un flash-back.

Théo et Cléo sont amoureux et Cléo doit faire sa place dans la vie de Théo auprès de ses enfants qui sont orphelins de mère depuis peu. L’auteur raconte aussi la jeunesse et la vie de famille de Cléo.

Cléo doit trouver sa place de fille et de mère car le roman est une histoire sur la famille, la famille recomposée de Cléo et Théo mais aussi la famille de naissance de Cléo, une famille déjà hors-normes et de la maternité sous ses différentes formes.

C’est une très belle histoire d’amour, plusieurs histoires d’amour, sur les différences façons de s’aimer et de montrer son amour.

La construction est intéressante aussi car il y a des narrateurs extérieurs absents des périodes qu’ils racontent : la mère de Cléo quand il s’agit principalement de son enfance, et qu’elle était une mère toujours en mouvement et très peu présente, et le père de Cléo qui devient le narrateur après sa mort et qui porte un regard très bienveillant sur le présent de sa fille.

J’ai beaucoup aimé ce roman et ses personnages attachants.

Bastien vous conseille : un roman, un magazine et un jeu vidéo!

Aujourd’hui Bastien a 14 ans et il vous propose un billet de conseils adaptés à sa tranche d’âge : un roman, un magazine et un jeu vidéo.

Le supernaturaliste : Eoin Colfer (Billet par Bastien)

Encore un livre Eoin Colfer : encore un coup de cœur !
Je recommande vraiment cet auteur, pour ces séries Artemis Fowl sa suite les jumeaux Fowl et Warp! Les personnages sont complets et pas « parfaits, gentils et courageux en toutes circonstances ».
Cosmo Hill est un orphelin d’un centre où les « non sponsorisés» sont maltraités et utilisés en tant que tests de produits… Jusqu’au jour où Cosmo tente de s’enfuir avec un camarade. Il en mourra presque. Mais, après cette NDE (Near Death Experience), il se met à voir des parasites, créatures cruelles qui aspirent l’énergie des vivants.
J’adore j’adore ce livre pour ses rebondissements vraiment choquants, même si sa fin, qui laisse très évidemment de la place pour une suite, reste incomplète… J’en veux plus !

Magazine science et Vie junior

Comment ne pas parler de « Science et Vie Junior » ! Ce magazine est INDISPENSABLE à tout ado. Ne vous laissez pas méprendre sur le mot « junior » : Science et Vie junior cible les 12-17 ans et franchement comme je me plais à le répéter, un numéro de Science et Vie junior vaut une semaine de cours!
On y trouve de tout : de la physique, de l’astrophysique, de la biologie, de la technologie, des analyses de l’actualité… Le tout très abordable, très bien expliqué, tout en abordant des notions avancées, avec un humour toujours présent (le faux article du numéro d’avril!)
Il y en a un par mois avec un hors-série plus gros centré sur un seul sujet tous les deux mois. Un numéro fait environ 100 pages et toujours super ! Je dois mon intérêt à des tas de sujets à la rédac de Sciences et Vie junior ! Un ÉNORME coup de cœur!

Jeu vidéo Portal 2 (oeuvre d’art vidéo ludique!)

Voici LE jeu qui va ébranler les convictions des parents anti-jeux (Si, si)! Ben oui, si au lieu d’utiliser une arme pour tuer des gens on l’utilise pour faire des énigmes!
Ce jeu utilise des « portails » : j’en place un sur le mur là-bas, un ici et quand je rentre dans l’un, je sors par l’autre ! Des possibilités infinies quand on ajoute des cubes, des boutons, des lasers à aligner, des rayons gravitationnels…
Attention ce n’est pas un jeu « éducatif » dans le plus pur sens du terme mais les nombreuses énigmes posées, plus les « mods » (contenus additionnels) gratuits, un mode coopératif (très drôle) et un éditeur pour créer ses propres énigmes, il y a de quoi se griller les méninges! Le tout présenté à la première personne ce qui rend le jeu plus dynamique.
Disponible pour une dizaine d’euros sur Steam (pour PC) ATTENTION : moitié moins cher au moment de Noël et aussi sur Xbox ou Switch.

Bastien a 14 ans !

Voici maintenant 14 ans que Bastien est dans ma vie. Je vais reprendre les mots que je lui ai dit directement. Je dis souvent que Bastien devient ado et qu’il est parfois exaspérant mais en réalité je trouve que nous avons beaucoup de chance de l’avoir car il est encore un gentil garçon -ou jeune homme- il est curieux et attentionné envers les autres, drôle et intelligent, sportif, grand lecteur et un peu nerd aussi. Bref, un savant mélange qui me plaît beaucoup (mais j’apprécie moyennement quand il répond à sa mère quand même 😉

Mauvaise nouvelle pour les fans de Bastien : j’ai décidé que je ne relèverai plus systématiquement toutes ses « petites phrases » : d’abord parce qu’il commence à être grand et dit moins de choses mignonnes et rigolotes et aussi parce que beaucoup de choses qu’il dit et me font rire sont plus compliquées à noter 😉 Quand l’occasion se présentera, j’en glisserai sans doute encore une ou deux mais ça ne sera plus systématique. D’ailleurs aujourd’hui, voici le petit mot qu’il avait laissé sur la table pour me dire qu’il était parti courir… J’ai éclaté de rire en le lisant!

Bastien va continuer à écrire des billets de lecture personnels ou en lecture commune avec moi le 18 de chaque mois. Aujourd’hui, il vous propose un billet avec plusieurs conseils adaptés à sa tranche d’âge!

Le bruissement des feuilles : Karen Viggers (lu par Julie Basecqz)

Ce roman se passe dans les montagnes de Tasmanie, en Australie,  où il y a de vastes forêts, dans une petite ville où  une grande partie de la population vit de l’exploitation du bois.

Leon, un jeune garde forestier qui vient d’arriver dans la ville pour s’occuper du parc naturel. Il a du mal à se faire une place parmi les membres de la communauté et en particulier ses coéquipiers de foot car ils sont pour la plupart des bucherons et donc le voient comme leur ennemi.

Max, le fils des voisins de Léon, va se lier d’amitié avec Léon, avec son chien en partie parce qu’il a besoin d’être épaulé dans une période difficile.

Max fera aussi le lien avec Miki, une jeune fille de dix-sept ans, qui travaille avec son frère Kurt dans le restaurant local. Elle est plus une prisonnière qu’une partenaire car Kurt refuse qu’elle se confronte au monde extérieur, elle est même enfermée à clé quand il part. Son seul moment de liberté c’est quand Kurt l’emmène dans la forêt où elle aime voir les arbres et la faune locale et aussi lorsqu’elle lit et relit les trois romans qu’elle possède…

Mais Miki profite des rares absences de Kurt pour sortir, voir sa forêt, mieux connaître Léon dans le cadre de son travail de préservation de la nature et se lier d’amitié avec une femme qui va lui donner d’autres livres à lire pour tenter d’éclairer sa route.

Léon et Miki vont aussi avoir un rôle à jouer pour aider Max qui subit du harcèlement et c’est donc une chaîne d’entraide qui va se créer. Il est question de violences intra familiales, de problèmes de communication au sein d’une communauté, d’écologie et de nature mais aussi d’amitié à plus d’un niveau et même de littérature.

J’ai plutôt bien aimé ce roman même si j’ai eu parfois eu peur que ça tombe dans le roman un peu « feel good » (et ça finit un peu trop bien par certains aspects) et il y avait quelques longueurs mais dans l’ensemble c’est un roman sur les relations humaines.

J’ai bien aimé la version audio.

De l’autrice, j’ai aussi lu La maison des hautes falaises.

catégorie végétal

Les survivants : Alex Schulman (Lu par Mathieu Buscatto)

Avant de parler du fond, je dois vous dire qu’au j’ai été très déstabilisée par la forme… En effet, le roman n’est pas du tout linéaire : on passe du passé au présent, et dans chaque époque ce n’est pas forcément chronologique et j’ai vraiment cru que j’avais mal enregistré mon livre audio ou que je le lisais en mode aléatoire.. Mais non! Une fois que j’ai compris le concept, ça allait!

L’histoire est celle d’une fratrie de 3 frères. Dans le passé, on revient sur l’enfance de Benjamin, Pierre et Nils quand ils passaient leurs étés avec leurs parents au bord d’un lac en Suède. On sent bien qu’il s’est passé quelque chose qui a changé le cours de la vie de famille. Les relations avec les parents et entre les frères sont loin d’être simples.

Concernant la partie au présent, les trois frères se retrouvent pour répandre les cendres de leur mère près du lac de leur enfance. Ces retrouvailles vont faire remonter les souvenirs des garçons et petit à petit, l’histoire familiale d’abord très obscure va devenir de plus en plus claire : pour le lecteur comme pour les personnages.

C’est un roman qui a failli ne pas me plaire et que j’aurais pu abandonner mais en fait, une fois que j’ai compris sa construction (c’est pour ça que j’en parle dès le début) je l’ai trouvé très intéressant. Il fonctionne presque comme un polar, comme une enquête qu’on ne savait même pas qu’on menait et c’est très bien pensé. C’est très fouillé au point de vue psychologique.

La version audio est très bien.

par Sylire

L’enragé : Sorj Chalandon (Lu par Féodor Atkine)

Ce n’est un secret pour personne ici : j’adore Sorj Chalandon (et en cliquant sur son nom, vous trouverez mes avis sur tous ses romans car j’ai tout lu de lui!). Cette fois-ci, ça a été une lecture croisée audio/papier car à peine avais-je demandé à Audiolib si je pouvais recevoir la version audio du dernier roman de mon auteur chouchou, que mon amie Carole me l’offrait pour mon anniversaire car on se voyait deux jours après la sortie du livre en librairie et qu’elle savait que je l’adorais! Je me suis dit que pour la première fois, je tenterai l’expérience de lire le même livre sur deux supports mais pour être franche, je ne le referai plus. Je crois que ce n’est pas la même partie de mon cerveau qui fonctionne selon les lectures et d’habitude c’est un avantage car je ne mélange jamais les deux histoires mais là, ça m’a perturbée car je ne lisais pas de la même façon que Féodor Atkine quand je lisais la version papier et j’avais parfois une impression de « déjà vu » en lisant en version papier alors que c’était juste parce que je me souvenais d’un élément lu en audio et qui ne sonnait pas pareil dans ma tête… (Je ne suis pas sure d’être claire 😉 Mais cela n’enlève rien à la qualité de la version audio, parfaitement lue par Féodor Atkine! D’autre part, je perdais aussi du temps à rechercher où j’en étais quand je changeais de support! Par contre, le gros plus de la version audio, c’est l’entretien avec l’auteur à la fin!

Cette histoire c’est celle de Jules, un jeune homme à peine sorti de l’adolescence qui en 1934 est depuis plusieurs années déjà « pensionnaire » ou plus exactement prisonnier dans une « colonie pénitencière » à Belle-Île en Mer. Cet endroit ressemble plus à une prison qu’à autre chose et les enfants (puisqu’il y en des jeunes de 13 à 21 ans la majorité de l’époque) qui y vivent sont plus exploités que formés en plus de subir les brimades et les violences des gardiens et des caïds.

Jules, la violence, il en est rempli depuis l’enfance. Il n’a pas connu l’amour d’une famille et ici, à Belle-Île, il imagine les pires violences pour supporter la réalité et il ne s’attache à rien ou personne (ou presque)…

Et puis, il y a une étincelle : une révolte, une mutinerie et tout le monde fuit… Mais s’évader sur une île ça ne libère pas vraiment, surtout quand tout le monde préfère gagner une récompense pour chaque jeune attrapé… Tout le monde, pas tout à fait, car Jules va faire des rencontres qui vont changer sa vie et lui apprendre la liberté. « L’enragé » va être apprivoisé et découvrir une autre vie.

Comme d’habitude avec Sorj Chalandon, le relations humaines sont fortes et il y est question de transmission, d’opportunité de faire grandir un personnage auprès d’une figure paternelle. C’est vraiment une belle histoire d’un personnage qui évolue.

Et en plus, on y croise Jacques Prévert!

Je laisse la parole à Sorj Chalandon :

mon amie Carole (pour la version papier)
MERCI!

Qu’est-ce que je faisais le lundi 10/10 à 10h10 et/ou à 22h10??

LE 10/10 à 10h10 : 

J’étais en salle de professeurs au collège et je buvais une tisane en discutant avec une collègue.

LE 10/10 à 22h10:

Je téléchargeais les photos reçues pour le rendez-vous photographique sur le blog.

Si vous avez joué, envoyez moi votre photo AVANT le 17 octobre en racontant ce que vous faisiez (pensez aussi à me donner votre pseudo et l’adresse de votre blog si vous en avez un pour le recap’, précisez aussi à quel moment de la journée c’était, matin ou soir) à cette adresse :

 ENNALIT@GMAIL.COM

Vous trouverez la mosaïque le 19 octobre si tout va bien! A bientôt!