L’Amérique des écrivains Road trip : Pauline Guéna et Guillaume Binet

J’ai choisi de lire ce documentaire car il a obtenu le prix de Elle en 2015 et il me semblait parfait pour mon challenge Amérique du Nord anglophone!

Je ne vais pas rentrer dans les détails mais j’ai beaucoup aimé ce livre qui est un recueil d’entretiens avec des écrivains américains ou canadiens.

Je n’ai pas lu tous les entretiens (il y en a beaucoup et je ne connaissais pas tous les auteurs) et au moment où je tape ce billet je n’ai pas fini de lire les auteurs que j’ai envie de découvrir mais tous ceux que j’ai lus étaient vraiment très intéressants!

C’est vraiment passionnant! On apprend beaucoup de choses sur leur écriture, leurs rituels, leur vision de la littérature et sur la société aussi.

Je pense que tous ceux qui aiment la littérature aimeront lire ces entretiens, même si ce n’est qu’en picorant les auteurs qu’on aime ou qu’on a envie de découvrir! Et si l’écriture vous intéresse, je pense que c’est aussi une mine d’informations et de conseils!

La liste des écrivains interviewés (dans l’ordre alphabétique):

Gilles Archambault
Margaret Atwood
Russell Banks
John Biguenet
Joseph Boyden
T.C. Boyle
James Lee Burke
Craig Davidson
Patrick deWitt
Jennifer Egan
Richard Ford
James Frey
Ernest J. Gaines
Siri Hustvedt
Laura Kasischke
William Kennedy
Dennis Lehane
Thomas McGuane
Dinaw Mengestu
George Pelecanos
Ron Rash
Joanna Scott
Jane Smiley
David Vann
John Edgar Wideman
Martin Winckler

J’ai envie de lire « Le goût de rouille et d’os » de Craig Davidson (j’ai vu et aimé le film adapté du livre), « La vacation » de Martin Winckler (qui est dans ma PAL), « Le nom du fils » de Ernest J. Gaines, « Suspicious river » de Laura Kasischke, « Oh, Canada » de Russel Banks, « Tous nos noms » de Dinaw Mengestu et « Le chant de la Tamassee » de Ron Rash, entre autres!

Russel Banks
Laura Kasischke
Margaret Atwood
Graig Davidsnon
Dinaw Mengestu
Ron Rash
catégorie « art »
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Documentaire 2015

Vivian Maier A la surface d’un miroir : Paulina Spucches 

Résumé de l’éditeur : « New York, 1953. Joanna et Lawrence Ward engagent une nouvelle nourrice pour leur fille Gwen. Très secrète, un peu étrange et parfois sévère, Vivian Maier trouve pourtant les faveurs de la petite fille qui la suit dans ses pérégrinations urbaines et l’observe capturer le monde qui l’entoure à travers l’objectif de son Rolleiflex. À mi-chemin entre fiction et biographie, Paulina Spucches nous entraîne de Brooklyn au Champsaur, imaginant le contexte que pourrait renfermer chaque cliché de Vivian Maier, génie de la photographie de rue. »

*

Cette BD était dans les nouveautés de la médiathèque et j’ai été attirée par les couleurs et les traits de la couverture. Et le hasard a bien fait les choses car j’ai tout aimé dans cet album!

Tout d’abord, ce qui saute aux yeux : les dessins et les couleurs flamboyantes!

Et puis, l’histoire qui raconte la vie (plus ou moins réelle car il y a des aspects qui sont certainement inventés) d’une femme, dans son enfance ou à l’âge adulte. Une femme assez austère mais passionnée par la photographie et transporte son appareil photo partout et prend des photos sur le vif sans pour autant avoir été considérée comme une vraie photographe de son vivant. C’est par un grand hasard que celle qui aura toujours été nounou dans des familles, sera reconnue comme une artiste à part entière après sa mort.

Enfin, ce que j’ai beaucoup aimé c’est le fait que les dessins racontent une histoire autour de vrais clichés pris par Vivian Maier, comme un contexte avant ou après une photographie reproduite en dessin.

Le seul regret que j’ai c’est qu’il n’y ait pas de photographies reproduites dans un cahier à la fin par exemple.

Je vous conseille le billet d’Aproposdelivre dans lequel elle a mis en parallèle les images de la BD et les photos de l’artiste.

Catégorie Objet pour ma ligne BD

La petite dernière : Susie Morgenstern et Johann G. Louis

En septembre l’an dernier, j’avais lu le roman/témoignage « La petite dernière » de Susie Morgenstern qui raconte son enfance. Je n’avais pas été particulièrement emballée et je pensais à l’époque que j’aurais plus apprécié la bande dessinée qui en avait été l’adaptation à l’époque. Alors quand je l’ai vu au rayon jeunesse de la médiathèque je me suis laissée tenter.

Je vais commencer par dire que j’ai aimé les dessins que j’ai trouvés très adaptés à cette histoire d’enfance pleine d’insouciance.

Et pourtant, je ressors de ma lecture encore moins convaincue que du roman car le format BD, forcément raccourci, a rendu l’ensemble un peu confus à mon avis et très survolé. Mais je me souviens que c’était déjà quelque chose qui m’avait un peu gênée lors de ma première lecture, ce côté un peu confus et pas toujours passionnant.

Alors je conseille cette BD à ceux qui aiment déjà beaucoup Susie Morgenstern et qui veulent mieux la connaître et ceux qui aiment les histoires d’enfance.

Pour vous faire une idée des dessins, cliquez ici!

Fagin le Juif (Fagin the Jew) : Will Eisner

Dans cet album, Will Eisner veut donner un autre point de vue sur un personnage qui a été crée par Charles Dickens dans Oliver Twist. Il s’agit de Fagin, un homme qui a sous sa coupe un groupe d’enfants qui volent pour qu’il puisse revendre leur butin. Will Eisner regrette que Charles Dickens ait choisi de caractériser Fagin en l’appelant Fagin le Juif et en lui attribuant des caractéristiques antisémites et celles-ci se retrouvent aussi dans les illustrations de l’époque.

Dans cet album, l’auteur remonte dans la jeunesse de Fagin et montre sa vie de Juif en Angleterre, sa pauvreté, sa malchance dans la vie et le fait que s’il a mal tourné et effectivement mené un groupe d’enfants voleurs, il n’était pas mené par ses origines religieuses mais plus par sa situation sociale, sa pauvreté et les injustices qu’il a subit.

Je n’ai pas lu « Oliver Twist » mais cette BD est vraiment intéressante : d’une part pour la période historique du 19e siècle et aussi pour la façon dont il réécrit une partie d’une histoire.

Cette BD m’a donné envie de lire « Oliver Twist » et aussi de lire d’autres BD de Will Eisner dont j’ai aimé le ton et les dessins!

Etats-Unis

Où va le blog cette semaine?

La routine reprend son cours, travail, sport et lecture 😉 Chose incroyable : tous les livres lus ont un billet programmé et je suis même à jour pour les liens du Petit Bac!

Où va le blog cette semaine?

Demain, lundi 26 septembre, je vous parlerai de la BD « Fagin le Juif ».

Mardi 27 septembre, exceptionnellement j’ai prévu un billet un jour impair pour le challenge Amérique du Nord anglophone, vous pourrez lire mon avis sur la BD « La petit dernière ».

Mercredi 28 septembre, ce sera un coup de coeur pour la BD : « Vivian Maier à la surface d’un miroir ».

Vendredi 30 septembre, ce sera un documentaire : « L’Amérique des écrivains Road trip ».

Samedi 1er octobre, vous trouverez le bilan de mes lectures de septembre et le 3e recap’ du Petit Bac.

Et enfin, dimanche 2 octobre, ce sera le rendez-vous « Oyez! Oyez! ».

En ce moment, avec les yeux, je lis « Le tatoueur d’Auschwitz » de Heather Morris (pour une lecture commune avec Céline) et « L’Amérique des écrivains : road trip » de Pauline Guéna et Guillaume Binet et avec les oreilles, j’audiolis  « Loin » de Alexis Michalik (Lu par Damien Ferrette).

Mes prochaines lectures papier seront « L’étrange voyage de R. L. Stevenson » de Jérémie Royer et Fabien Grolleau et  « The marriage plot«  (« Le roman du mariage ») de Jeffrey Eugenides et lecture audio sera ma prochaine « Mille femmes blanches » deJim Fergus (Lu par Maud Rudigoz).

Je vous souhaite une bonne semaine et de belles lectures à tous! A bientôt!

Harvey : Emma Cline

Lecture assortie à ma tenue 😉

Quand j’allais commencer à lire ce livre, j’ai fait quelques recherches sur l’autrice et j’étais intriguée car je ne trouvais pas ce titre dans sa bibliographie et j’ai découvert que c’était en fait une nouvelle intitulée « White Noise » qui faisait partie initialement d’un recueil de nouvelles intitulé « Daddy : stories » (en anglais). Les éditions « La Table Ronde » ont d’ailleurs aussi édité la nouvelle « Los Angeles » de ce recueil et ils ont aussi le titre « Daddy » mais en lisant le résumé je n’arrive pas à comprendre s’il s’agit du même recueil de plusieurs nouvelles ou juste la nouvelle « The Nanny ». Je suis très curieuse et j’ai bien envie de lire le recueil entier!

Cette nouvelle parle d’un certain « Harvey » dans lequel on reconnait bien évidemment Harvey Weinstein (mais ce n’est pourtant entièrement biographique, j’ai même fait quelques recherches pour vérifier des faits.)

L’autrice prend le partie de raconter la veille du verdict du procès du protagoniste. Il est persuadé qu’il ne sera pas condamné -il minimise ce dont il est accusé (les femmes qui l’accusent savaient bien ce qu’elles faisaient, d’après lui, il n’a rien à se reprocher!) et il est déjà en train de se projeter sur des idées d’avenir après avoir cru voir l’auteur Don DeLillo à côté de la maison où il vit reclus, se voyant déjà adapter le roman « White Noise ».

A côté de cette arrogance, on voit aussi un homme diminué physiquement, au corps qui se délite et qui doit être assisté et cherche du réconfort auprès d’un médecin au traitement douteux pour son dos et auprès de sa fille (personnage fictif) qui semble assez mal à l’aise au moment de rendre visite à son père avec sa petite-fille.

J’ai bien aimé cette nouvelle qui montre finalement un homme à deux facettes, entre le monstre sans scrupule et inconscient du fait qu’il arrive à la fin d’une ère et un homme blessé sans force et sans charisme. Et les deux aspects ne sont pas glorieux. Et d’ailleurs, j’étais un peu mal à l’aise au début de lire ce quotidien et ces désillusions égoïstes d’un homme qui avait été tellement puissant avant et puis on voit petit à petit comment l’autrice montre la chute de l’homme.

EDIT de « La table ronde » : « Harvey est un texte à part, il ne fait pas partie du recueil Daddy. White noise est le titre de la courte nouvelle (publiée en 2020 dans le New Yorker), qui a servi de point de départ à Harvey. »

Merci aux Éditions de La Table Ronde chez qui j’ai gagné ce livre lors du mois Américain sur Instagram l’an dernier !

Etats-Unis

American Dirt : Jeanine Cummins (Lu par Mélissa Windal)

Le roman s’ouvre sur le massacre de la famille de Lydia lors d’une fête de famille. Seule elle et son fils de 8 ans, Luca, s’en sont sortis par miracle. La police arrive mais comme la scène se passe à Acapulco au Mexique et que Sebastian, le mari de Lydia, était journaliste d’investigation et qu’il travaillait sur les cartels de drogue, Lydia se doute que ce massacre est en représailles de son dernier article et elle préfère ne pas faire confiance à la police et elle fuit…

On repart d’abord dans le passé, et on découvre la vie de Lydia avant cet événement dramatique : sa vie de famille, son travail de libraire, une rencontre amicale un peu ambiguë avec Javier, un homme charmant et la vie quotidienne ordinaire au Mexique, teintée par les dangers liés à la drogue et les cartels.

Puis la suite du roman, c’est le changement radical de vie pour Lydia et Luca qui, étant en danger de mort, se retrouvent sur les routes du pays et vont chercher à rejoindre l’Amérique du Nord pour échapper à leurs bourreaux potentiels.

Ils vont rejoindre une longue cohorte de migrants de tous les horizons de l’Amérique du Sud qui fuient tous quelque chose ou recherchent une vie meilleure. Ils vont se lier d’amitié, se serrer les coudes, traverser de terribles dangers, risquer leurs vies et souffrir physiquement et psychologiquement…

C’est un roman vraiment fort, très dur par le sujet mais extrêmement touchant sur le plan humain et qui fait la part belle à la psychologie des personnages. Lydia, ça pourrait être nous tous, avec sa vie ordinaire qui tout d’un coup tombe dans une vie d’aventures et de dangers malgré elle et qui doit sauver sa vie et celle de son fils et on peut se mettre à sa place de mère et toucher du doigts ce que peut-être la vie des migrants qui risquent tout.

J’ai vraiment aimé cette histoire très bien lue par Mélissa Windal.

Ma vie pour la tienne (My sister’s keeper) : Jodi Picoult

Anna a 13 ans et toute sa vie elle a été celle grâce à qui sa soeur a survécu. En effet, Kate, qui a 16 ans au moment de l’histoire, a été diagnostiquée à deux ans d’une leucémie rare et très virulente. Jess, le grand frère n’est pas compatible et les parents finissent par avoir un bébé « sur mesure », un bébé génétiquement testé pour pouvoir être donneur pour Kate et il s’agit de Anna.

Anna est aimée et aime sa soeur dont elle très proche, mais après le don du cordon ombilical, d’autres dons : sang, moelle etc ont suivi et arrivée à 13 ans, quand Kate en arrive à avoir besoin d’une greffe de rein, elle surprend tout le monde en allant voir un avocat pour obtenir l’émancipation médicale et reprendre la main sur son corps.

Evidemment, cette décision bouleverse tout l’équilibre familial. Ce roman est un roman de tribunal avec les relations avec l’avocat et la jeune femme qui a été chargée par le juge d’étudier la situation familiale de Anna pour essayer de trouver la meilleure solution pour elle. Mais en réalité, c’est un roman où on découvre les relations familiales, suivant une alternance de points de vue de tous les personnages et avec aussi un retour en arrière sur l’histoire de Kate et Anna.

Il y a beaucoup de psychologie et l’autrice creuse la nature humaine et les différents liens entre tous les protagonistes. Ce n’est pas manichéen, il n’y pas de gentils ou de méchants, tous les personnages ont leurs failles mais ils font de leur mieux. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, juste des personnes qui cherchent à faire du mieux qu’elles peuvent.

Ce n’est pas non plus une histoire à l’eau de rose ou « tire larmes ». C’est touchant bien sûr et cela fait aussi réfléchir et la construction de roman chorale rend l’ensemble rythmé et même, aussi surprenant que cela puisse paraître, distrayant.

J’ai beaucoup aimé ce roman que je vous recommande.

De cette autrice, j’ai aimé Nineteen minutes et Mille petits riens.

Un film a été tiré de ce roman, il semble assez fidèle mais je ne pense que je le regarderai tout de suite.

Etats-Unis

La vérité sort de la bouche de Bastien

Bastien a 12 ans et 11 mois et la vérité sort toujours de sa bouche ;-)

Son père le pousse un peu pour avoir une place à l’ombre pour le pique-nique avant une course à pied que Bastien et moi allions courir : « Tu cours pas, toi, tu ne devrais pas avoir autant de confort que nous!« 

*

On parle de maisons qui se vendent à 20 millions d’euros :
« Est-ce qu’à nous tous réunis (son père, lui et moi), on a 20 millions d’euros ?
-Non.
Je parle de mon compte, pas de mon argent de ma tirelire !
-Non, toujours pas!
Mais il y a des gens qui peuvent dépenser 20 millions d’euros ?!« 

*

Alors qu’il était déjà couché, il redescend en tenant un gobelet couvert d’un papier : « J’ai capturé un moustique je vais le relâcher!« 

*

Il n’a pas fini le livre dont il devait parler aujourd’hui sur le blog et n’a donc pas fait de billet : « C’est bon, tu vas pas me faire culpabiliser jusqu’en enfer !« 

Pas beaucoup de phrases ce mois-ci avec la rentrée et puis Bastien est bien rentré dans l’adolescence et il y a autant de clashs que de bons moments en ce moment 😉

Course à pied mère/fils, des moments que j’aime beaucoup partager avec lui, même si en réalité, il court trop vite pour moi 😉
Et une rentrée de plus! En 4ème pour Bastien et 25e rentrée de prof pour moi!

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Où va le blog cette semaine?

Je suis fatiguée : il faut se réadapter au rythme de boulot (et surtout au réveil qui sonne trop tôt, pour aller travailler, alors que je me couche beaucoup trop tard!). Je ne lis presque pas, je ne sais pas si c’est parce que mon livre ne me tente pas plus que ça ou si c’est la fatigue… Je pense d’ailleurs que je vais l’abandonner dès aujourd’hui pour autre chose!

Où va le blog cette semaine?

Aujourd’hui, samedi 17 septembre, vous pouvez voir la mosaïque des photos du 9/9.

Demain, dimanche 18 septembre, il y aura le rendez-vous des petites phrases de Bastien (pas très fourni ce mois-ci). Vous devriez aussi lire un billet de lecture par Bastien mais ce mois-ci, il ne s’est pas montré très motivé donc on verra bien si ce billet arrive un jour 😉

Mardi 20 septembre, vous pourrez lire mon avis sur « Ma vie pour la tienne » (« My sister’s keeper »).

Jeudi 22 septembre, ce sera un coup de coeur pour le roman audio : « American dirt »

Et enfin, samedi 24 septembre, je vous parlerai de « Harvey ».

En ce moment, avec les yeux, je vais abandonner « The paper palace«  (« La mémoire de l’eau ») de Miranda Cowley Heller dont je n’ai même pas lu la moitié en une semaine et je lis aussi la BD « Faut pas prendre les cons pour des gens  » de Emmanuel Reuzé et Nicolas Roubaud et avec les oreilles, j’audiolis  « Loin » de Alexis Michalik (Lu par Damien Ferrette).

Ma prochaine lecture papier sera peut-être « L’Amérique des écrivains : road trip » de Pauline Guéna et Guillaume Binet (un documentaire que je veux emprunter aujourd’hui à la médiathèque et  « Le tatoueur d’Auschwitz » de Heather Morris (pour une lecture commune avec Céline) mais je n’ai pas choisi ma prochaine lecture audio.

Je vous souhaite une bonne semaine et de belles lectures à tous! A bientôt!