Résumé de l’éditeur : « New York, 1953. Joanna et Lawrence Ward engagent une nouvelle nourrice pour leur fille Gwen. Très secrète, un peu étrange et parfois sévère, Vivian Maier trouve pourtant les faveurs de la petite fille qui la suit dans ses pérégrinations urbaines et l’observe capturer le monde qui l’entoure à travers l’objectif de son Rolleiflex. À mi-chemin entre fiction et biographie, Paulina Spucches nous entraîne de Brooklyn au Champsaur, imaginant le contexte que pourrait renfermer chaque cliché de Vivian Maier, génie de la photographie de rue. »

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Cette BD était dans les nouveautés de la médiathèque et j’ai été attirée par les couleurs et les traits de la couverture. Et le hasard a bien fait les choses car j’ai tout aimé dans cet album!

Tout d’abord, ce qui saute aux yeux : les dessins et les couleurs flamboyantes!

Et puis, l’histoire qui raconte la vie (plus ou moins réelle car il y a des aspects qui sont certainement inventés) d’une femme, dans son enfance ou à l’âge adulte. Une femme assez austère mais passionnée par la photographie et transporte son appareil photo partout et prend des photos sur le vif sans pour autant avoir été considérée comme une vraie photographe de son vivant. C’est par un grand hasard que celle qui aura toujours été nounou dans des familles, sera reconnue comme une artiste à part entière après sa mort.

Enfin, ce que j’ai beaucoup aimé c’est le fait que les dessins racontent une histoire autour de vrais clichés pris par Vivian Maier, comme un contexte avant ou après une photographie reproduite en dessin.

Le seul regret que j’ai c’est qu’il n’y ait pas de photographies reproduites dans un cahier à la fin par exemple.

Je vous conseille le billet d’Aproposdelivre dans lequel elle a mis en parallèle les images de la BD et les photos de l’artiste.

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