Qu’est ce que je faisais le jeudi 12/12 à 00h12 et/ou à 12h12??

LE  12/12 à 0h12 : 

Je lisais dans mon lit après être restée bien trop longtemps devant la télé à regarder Burger Quiz!

 

LE  12/12 à 12h12  :

Avec 3 mn d’avance : j’allais commencer l’atelier relaxation que j’anime au collège le lundi et le jeudi entre 12h10 et 12h30.

Si vous avez joué, envoyez moi votre photo AVANT le 19 décembreen racontant ce que vous faisiez (pensez aussi à me donner votre pseudo et l’adresse de votre blog si vous en avez un pour le recap’, précisez aussi à quel moment de la journée c’était, matin ou soir) à cette adresse :

 ENNALIT@GMAIL.COM
Vous trouverez la mosaïque le 21 décembre si tout va bien!

Caché dans la maison des fous : Didier Daeninckx

Résumé de l’éditeur Bruno Doucey : « 1943, asile de fous de Saint-Alban en Lozère. Deux psychiatres organisent la résistance à l’embrigadement des fous et à leur négation. L’un, Tosquelles, a fui l’Espagne franquiste ; l’autre, Bonnafé, communiste, est un ami des surréalistes. Ils cachent les résistants blessés de la région. Ils y accueillent une jeune fille juive résistante, Denise Glaser, en même temps que le poète Paul Éluard et sa compagne Nusch. Éluard y passe huit mois, avec cette double menace de l’enfermement des êtres et de l’enfermement du monde dans la barbarie, cette double résistance à la normalité et à la folie. Dans cet hôpital, où l’on favorise le surgissement de ce que l’on nommera plus tard l’art brut, le poète-résistant découvre, sous le regard fasciné de Denise, comment la parole des « fous » garantit la parole des poètes. Une plongée vertigineuse à laquelle nous convie Didier Daeninckx. »

*

J’ai découvert « Caché dans la maison des fous » lors de la rencontre avec Didier Daeninckx où il nous avait parlé de la genèse de ce court roman et de l’importance pour lui de la poésie, de la psychiatrie et de l’art qu’il a voulu évoquer dans son texte.

Pas facile de raconter cette histoire car c’est un texte court mais très intense et très riche et c’est pour cela que je vous recopie le résumé car il est très complet et que ce n’est pas l’essentiel.

C’est un roman qui permet en filigrane de parler de personnes qui ont sauvé d’autres personnes en les cachant pour les protéger des persecutions dues à des croyances politiques ou religieuses en ces temps de guerre mais aussi montrer une vraie bienveillance envers les « fous », les patients de cet asile où les médecins et les soignants essaient de les traiter le mieux possible pour qu’ils ne meurent pas de faim comme dans tant d’autres establishments mais aussi leur apporter de l’art, de l’art brut.

Une jolie découverte que je vous recommande.

 chez Antigone

La photo du 12/12 à 12h12 (trop tard pour 00h12!)

Nous sommes le jeudi 12/12  : n’oubliez pas de prendre la photo à 12h12 (trop tard pour 00h12, c’était cette nuit!)

Il suffit de mettre une alarme sur son téléphone, un réveil dans la maison, un post-it en évidence, en parler autour de vous et de tous prendre une photo en même temps!

Et pensez à m’envoyer votre photo à ennalit@gmail.com en racontant ce que vous faisiez (pensez aussi à me donner votre pseudo et si vous avez un blog pour le recap’, précisez aussi à quel moment de la journée c’était, nuit ou jour), dans les 2 ou 3 jours qui suivent maximum. Je les envoie à Steff qui concocte une mosaïque et on vous met ça en ligne très vite!

Envoyez moi vos photos jusqu’au 19 décembre pour que je puisse les envoyer à Steff et que je puisse les mettre en ligne le 21 décembre.

A plus tard pour ma/mes photo!