Ce roman est la 9ème enquête du Département V (le service qui doit résoudre les « cold cases ») de Carl Mørck, Assad, Rose et Gordon après « Miséricorde », « Profanation », « Délivrance » , « Dossier 64 », « L’effet papillon« , « Promesse », « Selfies » et « Victime 2117« .

Dans cet épisode, en pleine crise du Covid 19, l’équipe du Département V va enquêter sur une ancienne affaire qui refait surface suite au suicide d’une femme dont le fils avait été tué dans les années 1980 lorsque un garage avait subi une attaque où tout le personnel avait été tué. Les coupables n’avaient pas été retrouvés et le supérieur de Carl Mørck, ayant mauvaise conscience de ne pas avoir pu résoudre l’enquête, demande à son équipe de s’y pencher.

Ils découvrent un point surprenant qui va aiguiller l’enquête : sur la scène du crime du garage, il y avait un petit tas de sel alimentaire. L’équipe va petit à petit découvrir d’autres accidents ou suicides qui ont un lien avec du sel et n’ont jamais été élucidés. Ils vont chercher des points communs… Et bien sûr en trouver… L’affaire s’accélère et ils découvrent qu’il y une chance de sauver une future victime.

En parallèle, on suit une organisation de femmes qui essaient de punir les personnes qui manquent de civisme. A cause de la pandémie, par manque de personnel, le Département V qui normalement ne s’occupe que de « cold cases » va devoir aider avec une affaire de meurtre actuel . Mais ça ne sera pas du temps perdu sur le long terme.

De plus, l’ancienne affaire concernant Carl, appelée « l’affaire du pistolet à clous » durant laquelle, un de ses coéquipiers est mort et l’autre a été très sévèrement handicapé, revient sur le devant de la scène mais cette fois-ci, c’est Carl qui est accusé…

Je me suis laissée portée par cette lecture audio, en grande partie car c’est toujours aussi bien lui par Julien Chatelet qui est parfait dans cette série. Cependant, j’ai quelques bémols… C’est le 9e tome et je sens que l’auteur s’essouffle un peu à la fois dans son enquête qui est un peu tirée par les cheveux (comme par hasard, juste quand ils rouvrent l’enquête, un nouveau crime est prévu…) mais aussi dans sa façon de présenter ses personnages principaux qui manque un peu de saveur par rapport aux précédents tomes… Ils semblent tous un peu édulcorés.

Cela fait plusieurs tomes que je me dis que je commence à me lasser et que j’allais peut-être arrêter et puis je suis faible et je continue à les audiolire 😉 et je pense que je continuerai (car oui, la fin de ce tome appelle évidemment un autre livre!). j’ai chois cette lecture car je savais que j’allais au Danemark pendant mes vacances 😉

Sibylline : 672 pages en version papier

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Tadloiducine : 672 pages en version papier

12 commentaires sur « Sel (T9): Jussi Adler-Olsen (lu par Julien Chatelet) »

    1. Je vais l’ajouter (j’avoue que je ne regarde jamais le nombre de pages des livres audio même si j’en lis des « longs » plus que des « pavés »! Je vais vérifier les autres audio lus cet été du coup!

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  1. Bonjour Enna
    Vérification faite, l’édition « Livre de Poche » compte même 672 pages, en voici donc déjà un qui peut aussi compter pour « Les épais de l’été » chez dasola 😉
    (s) ta d loi du cine, « squatter » chez dasola

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  2. Bonjour Enna, j’ai lu ce roman l’année dernière dans le cadre d’un challenge « Pavé de l’été » et j’avais trouvé très bien. C’était seulement le deuxième que je lisais de lui. Sinon, j’ai vu les 4 adaptions ciné/télé danoises d’après les 4 premiers romans que je conseille, bonne après-midi.

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  3. J’en ai déjà lu cinq ou six, et je relirai sans doute, j’aime beaucoup les personnages récurrents de cette série. Pour toi c’était parfait pour le Danemark !

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