Il faut que je vous avoue que je n’ai pas fini « Purity » mais vu que je me suis arrêtée après avoir lu 567 pages sur 740, je ne l’ai pas compté dans mes abandons de lecture! Et si je fais un billet, c’est en partie pour mettre mes idées au clair sur ce que j’ai pensé de ce roman que, vous vous en doutez déjà, je ne vous recommande pas vivement 😉
Donc, déjà, ce roman fait 740 pages ce qui n’est pas rien… Et je vais commencer par vous donner le résumé de l’éditeur pour l’histoire :
« Purity, alias « Pip », est étudiante à Oakland, en Californie. Elle qui a grandi sans connaître l’identité de son père, élevée par une mère qui ne dévoile rien de sa vie, elle se tourne naturellement vers le journalisme d’investigation. On la dirige alors vers l’Allemand Andreas Wolf, un lanceur d’alertes charismatique rappelant par bien des côtés Edward Snowden et Julian Assange. Depuis la base secrète de son ONG en Bolivie, Andreas se livre à des attaques ciblées sur internet. Tandis qu’ils se rapprochent dans une relation trouble, Andreas avoue à Pip son secret : il a tué un homme.
Dans un récit époustouflant de virtuosité, Jonathan Franzen plonge dans le passé d’Andreas, qui fut un dissident connu dans l’Allemagne de l’Est des années 80, et jette ses personnages dans les courants violents de l’histoire contemporaine. Purity est un livre où tout le monde ment, pour cacher ses erreurs, ses fautes et ses crimes. C’est un thriller qui n’épargne pas les pouvoirs et ceux qui en abusent. Mais aussi un roman d’amour désespéré dans lequel le sexe et les sentiments s’accordent rarement. On l’aura compris : jamais Franzen n’aura été aussi audacieux, aussi imprévisible que dans ce roman à la fois profond et formidablement divertissant. »
Blandine chez qui je l’ai gagné.
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