Cela faisait des années que je voyais passer cette autrice sur la blogo, particulièrement au moment de Québec en Novembre et particulièrement chez Aifelle alors cette année, j’ai décidé que je me lançais enfin dans la découverte de son personnage récurrent « Armand Gamache ».

Résumé de l’éditeur : « Au plus fort de l’été, le Manoir Bellechasse, un hôtel luxueux des Cantons-de-l’Est, accueille les membres d’une riche famille anglo-canadienne réunis pour rendre hommage à leur défunt patriarche. L’inspecteur-chef Armand Gamache, venu célébrer avec sa femme leur trente-cinquième anniversaire de mariage, constate rapidement le troublant comportement de cette famille aux apparences parfaites. Sous la surface trop lisse bouillonne une inavouable rancune longtemps refoulée. Dans les esprits comme dans le ciel, l’atmosphère s’alourdit. Bientôt une tempête s’abat, laissant derrière elle un cadavre étrangement mis en scène. Mais qui aurait l’audace de commettre un homicide sous les yeux de l’inspecteur ?« 

Dans le billet sur les petites phrases de Bastien du mois d’octobre j’avais partagé une de ses remarques sur ce roman : « C’est du plagiat d’Agatha Christie! Elle aussi y a des couvertures avec des oiseaux morts et j’ai lu le résumé de ton livre, c’est aussi un roman policier ! » Et bien, il n’avait pas tort! J’ai vraiment eu l’impression de lire un Agatha Christie des temps modernes (et encore, à peine plus modernes étant donné que le lieu où se passe l’intrigue est tellement isolé que les téléphones et internet ne fonctionnent pas!). En effet, un lieu isolé, un hôtel au charme suranné, une famille aisée avec des membres adultes qui ne peuvent pas se supporter tout en essayant de maintenir des apparences, un inspecteur de police au milieu de tout cela pour résoudre un crime qui concerne cette même famille dans une sorte de huis clos… Et moi qui adore Agatha Christie, vous vous doutez que ce n’était pas pour me déplaire!

Le petit plus particulièrement québécois, c’est l’importance de la place des familles « anglos » (c’est à dire les anglophones) au Québec, le pouvoir qu’elles ont longtemps eu et croient toujours avoir (la famille en question, pense d’ailleurs que Gamache et sa femme étaient un petit commerçant et une femme de ménage sous prétexte qu’ils étaient francophones par exemple).

J’ai vraiment bien aimé et je pense que c’est une autrice que je relirai!

autour de l’autrice avec Aifelle, Anne, Eimelle, Hélène, Nadège

 chez Karine:) et  Yueyin

Catégorie Nos joies répétitives – Pierre Lapointe  Un roman qui fait partie d’une série.

20 commentaires sur « Défense de tuer : Louise Penny »

  1. Tu es tombée dans la marmite ! Je te conseille de les prendre dans l’ordre, il y a une progression dans une intrigue, les démêlés de Gamache avec sa hiérarchie.

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    1. J’ai pris celui-ci qui était le plus ancien de la série disponible à la médiathèque et je vais commencer par lire ceux de la médiathèque 😊 mais ils ne les ont pas tous.

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    1. et ça ne m’a pas gêné (c’est comme pour les roman de Fred Vargas, j’en ai lu plein mais dans le désordre 😉 On verra lequel je lis après pour Louise Penny (mais sans doute un qui est dispo à la médiathèque 😉

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  2. Je suis en train de faire le tour des blogs qui parlent aujourd’hui de cette Louise Penny, qui suscite un bel enthousiasme… à noter pour le prochain Québec en novembre, donc !

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  3. Comme Aifelle, je suis archi fan et je te conseille aussi de les lire dans l’ordre car une grande partie du plaisir tient aussi (un peu comme dans une bonne série !) à l’évolution de tous les personnages, principaux comme secondaires !

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    1. Je ne pense pas que je les lirai dans l’ordre car je vais lire ceux de la médiathèque d’abord et ils ne les ont pas tous mais avec Fred Vargas et son personnage principal ça ne m’a jamais gêné 😊

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